Lidiya Ginzburg (1902–1990)
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Werken van Lidiya Ginzburg
О старом и новом [Of old and new] 1 exemplaar
O lirike 1 exemplaar
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Algemene kennis
- Gangbare naam
- Ginzburg, Lidiya
- Pseudoniemen en naamsvarianten
- Ginzburg, Lidiâ Âkovlevna (Forme internationale translit.-ISO russe)
Гинзбург, Лидия Яковлевна (Forme internationale russe) - Geboortedatum
- 1902-03-18
- Overlijdensdatum
- 1990-07-17
- Geslacht
- female
- Nationaliteit
- Russia
- Land (voor op de kaart)
- Russie
- Geboorteplaats
- Odessa, Ukraine, Russian Empire
- Plaats van overlijden
- Leningrad, Russia, USSR
- Woonplaatsen
- Leningrad, Russia, USSR
- Opleiding
- Leningrad State Institute
- Beroepen
- Diarist
memoirist
Literary critic
historian - Relaties
- Eikhenbaum, Boris (Professeur)
- Organisaties
- niversité d'État de Leningrad (Docctorat, Philologie, 19 57)
Université carélo-finlandaise (Professeur agrégée, 19 47 - 19 50)
Radio de Leningrad (Rrédactrice en chef)
Institut d'État d'histoire des arts, Leningrad (Professeur)
Union des écrivains de l'URSS (Membre, 19 35 | ) - Korte biografie
- Lidia or Lidiya Yakovlevna Ginzburg was born into a Jewish family in Odessa. She attended the Leningrad State Institute of History of the Arts. She became a friend to the younger generation of poets and writers, including Joseph Brodsky and Alexander Kushner. Ginzburg remained in Leningrad during the German siege of the city during World War II and produced the famous survivor memoir,"The Siege of Leningrad." Her later published works included On the Lyric (1964), On Psychological Prose (1971), and On the Literary Hero (1977). Some of her work was translated into English and published posthumously as Notes from the Leningrad Blockade and Other Writings (1992).
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- Waardering
- 4.3
- Besprekingen
- 3
- ISBNs
- 25
- Talen
- 8
J'y suis venu par pur voyeurisme : j'avais lu quelque part que le siège de Leningrad avait été long et particulièrement affreux, une épreuve parmi les épreuves endurées par les soviétiques lors de la seconde guerre mondiale. Je n'ai pas eu ce que je voulais et c'est tant mieux, c'était de mauvaises raisons.
L'auteure fait preuve de beaucoup de pudeur pour décrire ce qui s'est passé à Leningrad pendant le siège. Point de vision apocalyptique pour trentenaire de la génération X en mal de sensations. Au contraire, c'est un récit de vie, avec sa routine et ses mesquineries au plus fort de la famine. Au lieu de lire des millions de morts claquant la gueule ouverte, je me suis senti à cette lecture comme dans un petit village de province. Et moi qui suis d'un naturel pessimiste, j'y ai vu de l'espoir.
Mais j'ai lâché prise, il y a certaines considérations philosophiques (ou sociologiques ou littéraires) qui me sont passé au-dessus. Avec regret, je le dis bien. J'avais juste quelques lacunes. Du coup, je ne peux pas trop en dire plus... :/… (meer)