At times a brilliant piece of work, but not sustained throughout. ( )

Résumé :
D'un bout à l'autre de ce monde... avoir cherché un père, cherché naïvement un père... et de nouveau s'entendre demander... d'être la mère... toujours la mère... toujours la mère... toujours tirer d'elle-même... avoir cherché un père d'un bout à l'autre du monde... avoir aimé partout le père... souhaité le père... et trouver un enfant.
... La dernière fois qu'elle avait émergé du chloroforme, ç'avait été pour voir son enfant mort, une petite fille aux longs cils, aux mains fines. Une petite fille morte.
La petite fille qui était en elle était morte elle aussi. La femme était sauvée. Et avec la mort de l'enfant disparut le besoin d'un père.

Winter of Artifice by Anais Nin is a set of three novelettes that explore relationships between woman and lover, woman and father, and patient and therapist. Nin writes eloquently in her stories and goes deep into the intricacies of the imperfections of relationships. The beauty of her language balances the often negative nature of the stories themselves. The prose used in the three stories give each story a haunting and unearthly quality, while exposing some of the deep seeded realities of human nature.

Mostly consisting of the very psychoanalytic interior monologues, these stories are best when narrative takes a back seat for pure poetry. Though nothing much happens, the lace-like intricacy of the language is to be admired, as well as the crystaline disentaglement of the murky relationships between human psyches. Very sensual and decadent, Nin is an aesthete's dream. ( )