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Dror Burstein

Auteur van Muck: A Novel

14+ Werken 86 Leden 2 Besprekingen

Over de Auteur

Werken van Dror Burstein

Muck: A Novel (2018) 30 exemplaren
Netanya (Hebrew Literature) (2010) 21 exemplaren
Kin (2009) 18 exemplaren
אחות שמש (2012) 4 exemplaren
טיט. (2016) 2 exemplaren
הרוצחים (2005) 2 exemplaren
Mi taza de té (2016) 1 exemplaar
Proche (2010) 1 exemplaar
Emil 1 exemplaar
עולם קטן 1 exemplaar
אבנר ברנר 1 exemplaar
ערים תאומות (2004) 1 exemplaar

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Algemene kennis

Gangbare naam
Burstein, Dror
Pseudoniemen en naamsvarianten
בורשטיין, דרור
Geboortedatum
1970
Geslacht
male
Nationaliteit
Israel
Geboorteplaats
Netanya, Israel
Opleiding
Hebrew University of Jerusalem (PhD|Hebrew Literature)

Leden

Besprekingen

In a Jerusalem both ancient and modern, where the First Temple squats over the populace like a Trump casino, where the streets are literally crawling with prophets and heathen helicopters buzz over Old Testament sovereigns, two young poets are about to have their lives turned upside down.Dramatizing the eternal dispute between poetry and power, between faith and practicality, between haves and have-nots, Dror Burstein’s Muck is a brilliant and subversive modern-dress retelling of the book of Jeremiah: a comedy with apocalyptic stakes by a star of Israeli fiction.… (meer)
 
Gemarkeerd
HandelmanLibraryTINR | Nov 22, 2018 |
L’histoire est simple à décrire même si elle n’est pas simple à vivre et à lire. Un fils, Ouri, va voir son père Amos pour qu’il lui explique pour sa sœur de 10 ans son ainée s’est suicidée, à l’âge de cinquante ans, il y un an. Le livre commence ainsi par un rapport de force entre les deux hommes. En fait, Ouri s’interroge sur son père, sur sa relation avec lui, sur le passé, plutôt qu’il ne l’interroge sur le suicide de sa sœur. La sœur, Dorit, reste une présence dont on ne parle pas. Le père, lui, ne se rend pas compte des interrogations de son fils, ou les évite, en divaguant. Cette partie du livre fait 70 pages et on comprend dès le début qu’on n’a pas affaire à une famille comme les autres.

Il s’agit plutôt de quatre individualités rassemblés par un même nom mais aussi par une manière de penser, un manière d’écrire, de rêver, de philosopher. En cela, Dorit était la plus exceptionnelle car dès le plus jeune âge, elle sortait d’elle des pensées et des questionnements d’adulte. Ses poèmes, par leur brièveté (un ou deux vers), étaient (sont ?) transcendants de justesse car il dévoile tout un monde d’images de beauté, comme de souffrances, une attention portée à la nature extraordinaire. Ouri a choisi le métier d’avocat mais c’est une vocation ratée. Il découvre sur le tard son admiration pour les textes hébraïques d’il y a 1000 ans. Le père s’est réfugié dans la religion ; avant il était professeur. Seule la mère, Rita, d’origine anglaise et professeur d’anglais en Israël, semble moins dans ce caractère, plus ancrée dans la vie réelle. Pourtant, son amour pour ses enfants est aussi très particulier (en tout cas par rapport à ce que je connais, c’est-à-dire mes parents) : elle semble ne pas montrer son amour comme si pour ses enfants, c’était évident mais elle reste sur la réserve par rapport à ses enfants qui semblent distant. Une autre chose que je n’ai pas compris, c’est si Rita et Amos étaient séparés, divorcés ? ou quelque chose comme cela. J’ai du mal à m’imaginer leurs vies de couple, de parents. Les seuls personnes de cette famille qui semblent vraiment proche, c’est Ouri et Dorit. Ce n’est pas une proximité de confidence, d’entraide mais plutôt une complicité en terme de manière de penser, de se comprendre.

La suite du roman fait un retour en arrière, un an auparavant avec des flashbacks. L’auteur fait des parties où seul certains personnages parlent (je n’ose écrire se parlent) par exemple Rita, Dorit, Amos puis Ouri et Rita, Rita, Amos et Ouri (encore). Dorit n’interviendra qu’à la fin pour donner sa version (cette partie est rédigée d’un point de vue extérieure). il faut voir qu’un an auparavant Ouri attendait une greffe de rein, que ses parents lui ont caché pendant deux mois la mort de sa sœur comme ils ont caché à sa sœur la maladie de son frère pendant cinq ans (il ne lui a pas dit non plus).

Pour moi, c’est un livre très beau, très poétique. On se laisse embarquer par l’univers des personnages, même si ce n’est pas le nôtre. C’est un peu comme si on se servait de leur univers pour nous laisser entraîner par nos pensées, par notre imaginaire (je ne suis pas sûre d’avoir bien compris l’histoire du coup…) C’est un livre qui met dans un certain état de pensée, qui influence l’humeur la manière de voir les choses pendant qu’on le lit. On revient vers le livre plus pour cela que pour l’histoire. Cependant, ce livre restera pour moi une expérience de lecture étrange car je n’ai pas réussi à comprendre ce qui unissait ses quatre personnages (ou en tout cas Amos, Ouri et Dorit). On arrive au mauvais moment car Dorit est encore là, parmi eux, et aucun n’a réussi à faire avec son absence. C’est comme cela que je me suis expliquée cette drôle de famille : ils n’ont pas encore réussi à construire de nouveaux liens familiaux.
… (meer)
 
Gemarkeerd
CecileB | Mar 18, 2014 |

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