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Valery Larbaud (1881–1957)

Auteur van A. O. Barnabooth: dagboek van een miljardair

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Over de Auteur

Reeksen

Werken van Valery Larbaud

Fermina Marquez (1911) 113 exemplaren
Enfantines (1918) 33 exemplaren
Oeuvres (1913) 27 exemplaren
Geliefden, gelukkige geliefden (1921) 26 exemplaren
Jaune bleu blanc (1927) 7 exemplaren
Allen (1927) 6 exemplaren
Journal (2009) 4 exemplaren
Le pauvre chemisier (1908) 4 exemplaren
Kinderscènes (2021) 4 exemplaren
Aux couleurs de Rome (1938) 3 exemplaren
Mon plus secret conseil... (2007) 3 exemplaren
Ce vice impuni, la lecture (1941) 3 exemplaren
Lettre d'Italie (1999) 2 exemplaren
Le vagabond sédentaire (2003) 2 exemplaren
ses oeuvres complètes (1995) 1 exemplaar
Le Palais de cristal (2002) 1 exemplaar
Journal 1934-1935 1 exemplaar
Barnabooth 1 exemplaar
Jean Royère (2013) 1 exemplaar
Vieille parme (2003) — Vertaler — 1 exemplaar
Technique (Les Essais) (1932) 1 exemplaar
Valery Larbaud (1992) — Samensteller — 1 exemplaar
Les portiques (1994) 1 exemplaar
Paul Valery 1 exemplaar
Lettre aux imprimeurs (1984) 1 exemplaar
Serena Bruchi 1 exemplaar
Adolescenti. (1960) 1 exemplaar
Læsningen 1 exemplaar
De la tierna edad (2002) 1 exemplaar

Gerelateerde werken

A Book of Luminous Things: An International Anthology of Poetry (1996) — Medewerker — 832 exemplaren
As I Lay Dying [Norton Critical Edition] (2009) — Medewerker — 547 exemplaren
Borges (2006) — Medewerker — 66 exemplaren
Meesters der Franse vertelkunst (1950) — Medewerker — 2 exemplaren
フランス短篇24 (現代の世界文学) (1989) — Medewerker — 1 exemplaar

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Algemene kennis

Gangbare naam
Larbaud, Valery
Officiële naam
Larbaud, Valery-Nicolas
Geboortedatum
1881-08-29
Overlijdensdatum
1957-02-02
Graflocatie
Vichy, Allier, Auvergne-Rhône-Alpes, France
Geslacht
male
Nationaliteit
France
Geboorteplaats
Vichy, Allier, Auvergne-Rhône-Alpes, France
Plaats van overlijden
Vichy, Allier, Auvergne-Rhône-Alpes, France
Woonplaatsen
Vichy, Allier, Auvergne-Rhône-Alpes, France (birth ∙ death)
Beroepen
novelist
critic
translator
short-story writer
Korte biografie
Grand voyageur.
Traducteur. (Landor, Coleridge, James Joyce, Joseph Conrad, Samuel Butler,...

Leden

Besprekingen

"Courtes, percutantes, sous leur apparente douceur, les nouvelles de Valéry Larbaud nous saisissent comme par surprise.
Très jolis volumes illustrés sous étui.
 
Gemarkeerd
marievictoire | Nov 9, 2023 |
A very odd little novel, set in an elite boarding school in pre-war Paris, the student body of which more or less models a contemporary idyll of rich people equality: Africans, South Americans and Europeans all hang out together, speaking Spanish just because there are more South Americans than French people. It could just have been a bland coming of age tale; instead, everything gets knocked a little off center. The negro (sic) Demoisel is brutal, violent, huge, in short, every possible cliche you could think of--but just when you're ready to throw the book down in disgust at its racism, our narrator tells us that this is notable mainly because all the other black students are so charming and studious. Or the sensitive, bookish young man turns out to be a little Napoleon, deeply unbalanced.

Or, most impressively, Fermina Marquez herself--sister of another student, and the beloved of all the older young men--looks to be nothing more than a handy catalyst for the young men to come of age at, perhaps a gauzy symbol of the unattainable Love. Then she turns out to be a model of Spanish Catholicism, almost inhumanly pious. But then she falls in love, and renounces her religious mania in favor of sensuality. But instead of this being a Love conquers Intolerance moment, she's deeply ambivalent about her behavior. Was she simply a hypocrite? What has she lost?

Also, Larbaud handles first person plural narration far more effectively than, e.g., Eugenides in The Virgin Suicides.

Another literary mystery for me to obsess over: How 'Le Grand Meaulnes' is a Penguin Classic, while this is out of print. Larbaud himself seems like a fascinating character, too; he translated Joyce, Samuel Butler and Thomas Browne.
… (meer)
 
Gemarkeerd
stillatim | 1 andere bespreking | Oct 23, 2020 |
> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Larbaud-Les-Poesies-de-AO-Barnabooth--Poesies-div...

> L'éducation de Barnabooth, son goût de la liberté que freine seulement sa délicatesse, nous entraînent dans des villes qu'il aime, d'Amsterdam à Florence, des paysages qui l'enchantent, de Moscou à Picadilly. À chaque page, ce sont des amitiés, des amours, des rencontres, des rêveries, une vie légère et grave à la fois, et dont la douceur nous séduit.
Pauline Hamon (Culturebox)

> « Il y a quelque chose en moi.
Au fond de moi, au centre de moi,
Quelque chose d’infiniment aride
Comme le sommet des plus hautes montagnes ;
Quelque chose de comparable au point mort de la rétine,
Et sans écho,
Et qui pourtant voit et entend ;
Un être ayant une vie propre, et qui cependant
Vît toute ma vie, et écoute impassible
Tous les bavardages de ma conscience.
Un être fait de néant, si c’est possible,
Insensible à mes souffrances physiques,
Qui ne pleure pas quand je pleure,
Qui ne rit pas quand je ris,
Qui ne rougit pas quand je commets une action honteuse,
Et qui ne gémit pas quand mon cœur est blessé ;
Qui se tient immobile et ne donne pas de conseils,
Mais semble dire éternellement :
“ Je suis là, indifférent à tout. ”
» —Valéry LARBAUD « Le don de soi-même »,
Les Borborygmes, Les Poésies de Barnabooth, Gallimard, 1913, préface de Robert Mallet.

Lorsqu’on sait que Valéry Larbaud fut frappé de paralysie générale durant vingt ans, dépendant totalement d’une assistance extérieure, muré dans son silence, ce poème écrit en 1908 prend une dimension tragique et prémonitoire.
Il avait découvert à son insu ce qui ne s’atteint qu’au terme d’une longue et persévérante ascèse. Aussi ne pouvait-il en ressentir la puissance d’émerveillement. C’était trop tôt, et surtout obtenu sans effort. Mais, et c’est encore une loi de la croissance intérieure, cette conscience étant apparue devait inexorablement s’épanouir, fût-ce aux dépens d’un organisme qui ne la désirait pas.
Durant la lente agonie des fonctions corporelles, la Vie toute-puissante derrière ce charroi de misère, de solitude figée, dressa ses forces vivantes, source de perpétuelles émissions irréductibles aux « propriétés connues » de la matière et de l’énergie, tandis qu’elle égrenait sa lente musique à travers les membres déjà morts.
Jeanne Guesné, in: Le septième sens : Le corps spirituel, Le Relié (2007), pp. 113-114
… (meer)
 
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Joop-le-philosophe | 1 andere bespreking | Dec 28, 2018 |

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