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Werken van Immanuel Mifsud

Happy Weekend (2006) 8 exemplaren
Play of waves (2017) 3 exemplaren
Fid-dlam tal-lejl h̳arisna (2016) 3 exemplaren
Confidential Reports (2005) 2 exemplaren
Kimika (2005) 1 exemplaar
U ime oca (i sina) (2020) 1 exemplaar
Ħuta (2016) 1 exemplaar

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Algemene kennis

Gangbare naam
Mifsud, Immanuel
Geboortedatum
1967-09-12
Geslacht
male
Nationaliteit
Maltese
Land (voor op de kaart)
Malta
Geboorteplaats
Paola, Malta

Leden

Besprekingen

In 2006, the author was present at the birth of his son. Just a few months later, in 2007, the author’s father died. These two momentous events, which he lived as a father and as a son, led Immanuel Mifsud to write Fl-Isem tal-Missier (u tal-Iben) (later translated into several languages, including English as “In the Name of the Father (and of the Son)”). Another source of inspiration for the author was the discovery of a “war diary”that his father started to write when he joined the King’s Own Malta Regiment in 1939. Brief extracts from the diary are included in the text and the image of Mifsud’s father as “soldier”, in both a literal and figurative sense is a running theme of this short book.

Immanuel Mifsud is best-known as the writer of short stories which break taboos by focussing on less savoury aspects of Maltese society. Fl-Isem tal-Missier (U tal-Iben), for which Mifsud won the European Literature Prize in 2011, is not very typical of the author. One could say that it is also quite an unusual sort of work in the Maltese literary context. More than a novel, I would describe it as a meditation on fatherhood – a Sebaldian mix of essay, autobiography and (possibly?) fiction, rendered in a highly poetic prose. It is also, very evidently, a personal project close to the author’s heart.

Tellingly, in its introduction, Mifsud voices his concern, via a reference to Roland Barthes, that this book, completed as a “promise” might not speak to its readers as it does to him. This observation is well-placed. The searing emotion of the text is often moving but sometimes made me feel uncomfortably like a voyeur.

3.5*

https://endsoftheword.blogspot.com/2020/03/in-name-of-the-father-Immanuel-Mifsud...
… (meer)
 
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JosephCamilleri | 2 andere besprekingen | Feb 21, 2023 |
In 2006, the author was present at the birth of his son. Just a few months later, in 2007, the author’s father died. These two momentous events, which he lived as a father and as a son, led Immanuel Mifsud to write Fl-Isem tal-Missier (u tal-Iben) (later translated into several languages, including English as “In the Name of the Father (and of the Son)”). Another source of inspiration for the author was the discovery of a “war diary”that his father started to write when he joined the King’s Own Malta Regiment in 1939. Brief extracts from the diary are included in the text and the image of Mifsud’s father as “soldier”, in both a literal and figurative sense is a running theme of this short book.

Immanuel Mifsud is best-known as the writer of short stories which break taboos by focussing on less savoury aspects of Maltese society. Fl-Isem tal-Missier (U tal-Iben), for which Mifsud won the European Literature Prize in 2011, is not very typical of the author. One could say that it is also quite an unusual sort of work in the Maltese literary context. More than a novel, I would describe it as a meditation on fatherhood – a Sebaldian mix of essay, autobiography and (possibly?) fiction, rendered in a highly poetic prose. It is also, very evidently, a personal project close to the author’s heart.

Tellingly, in its introduction, Mifsud voices his concern, via a reference to Roland Barthes, that this book, completed as a “promise” might not speak to its readers as it does to him. This observation is well-placed. The searing emotion of the text is often moving but sometimes made me feel uncomfortably like a voyeur.

3.5*

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JosephCamilleri | 2 andere besprekingen | Jan 1, 2022 |
39/2020. The structure of these poems seems relatively formal but there are some outstanding images: a care home where dentures still smile without their wearers, where a widow's husband has departed without his suitcases, etc.

Read as part of my desultory attempt to read my way around the European Union.

Reading: Malta.

Read: Austria, Belgium, Bulgaria, Finland, France, Germany, Greece, Hungary, Ireland, Italy, Lithuania, Netherlands, Poland, Portugal, Romania, Slovakia, Spain, Sweden.

Remaining unread countries: Croatia, Republic of Cyprus, Czech Republic, Denmark, Estonia, Latvia, Luxembourg, Slovenia.
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½
 
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spiralsheep | Apr 4, 2020 |
J’ai reçu juste avant l’eurovision la newsletter de Book Depository, donnant une liste de livres dont les auteurs étaient originaires des pays favoris de l’enseigne. Il y avait et Chypre et Malte. Ne connaissant aucun pays de ces deux pays, j’ai regardé et il s’est avéré qu’un des livres, d’un auteur maltais, Immanuel Mifsud, venait juste de sortir chez Gallimard (les autres auteurs maltais étaient Clare Azzopardi, auteur de théâtre, et Oliver Friggieri). Le hasard fait bien les choses tout de même. Un passage au Divan et hop, je commence à le lire !

Le livre est très court (90 pages). C’est un récit et non un roman : Immanuel Mifsud raconte son père mais surtout l’image de la paternité et de la masculinité (repris de la quatrième de couverture) qu’il lui a transmise.
Quelques années avant la mort de son père, l’auteur a trouvé un carnet marron où son père racontait de manière très méticuleuse les années où il a servi comme soldat maltais au côté des britanniques, pendant la Seconde Guerre mondiale. Il s’était alors promis de le publier d’une manière ou d’une autre.

Au décès de son père, il écrit ce livre où sont insérés des passages de ce fameux journal car le passé militaire de son père, ses médailles et sa baïonnette font partie intégrante de l’image qu’il s’est forgé de l’homme. Image d’un homme fort qui ne pleure pas, qui ne se plaint pas, une image d’Homme avec un très grand h, d’un patriarche. Voici un extrait de son carnet :

L’Homme devrait avoir trois Cœurs. Un Cœur de feu qui brûle d’amour pour Dieu un autre de Chair pour aimer ses proches et un Autre en Bronze pour contenir tous les désirs du Corps ; et la Famille devrait obéir à l’Autorité du Père – si l’Homme est une poule et la Femme un Coq, alors toute la Famille sera sens dessus dessous.

Ce père pouvait être extrêmement sévère vis à vis d’un fils moins inhibé vis à vis de ses émotions, d’un fils qui voulait vivre ses propres expériences. L’auteur parle de querelles fréquentes, de rebellions… Pourtant, cette image « idyllique » du père est cornée par d’autres moments, des moments où son fils se rappelle l’avoir vu pleuré, des moments où son handicap (il boite) l’a rendu plus fragile qu’il ne l’aurait voulu.

Ses souvenirs entraînent Immanuel Mifsud à réfléchir à ce que son père lui a transmis, et c’est cette image du père et de la masculinité qui lui vient à l’esprit. Lui aussi a un fils et il se demande si justement il n’est pas en train de reproduire le même schéma.

Ce récit n’est donc pas un hommage au père, comme on peut en lire régulièrement, ni un règlement de compte d’ailleurs, même si parfois on est un peu gêné par la violence du propos (sans concession), dans le sens où le livre est très personnel, voire trop personnel. Cette impression est amplifiée par l’écriture de l’auteur, souvent impérative et exclamative. Il ne s’adresse jamais à son lecteur mais bien à son père avec un tu répété très fréquemment et à lui-même par un je, répété lui aussi très fréquemment dans la seconde partie du récit. C’est un bon livre, mais si je voulais vraiment lui trouver un défaut, c’est celui-là : le récit ne permet pas de réfléchir soit même à la transmission de la féminité ou de la masculinité entre parents et enfants, justement parce qu’il est très personnel et particulier. La manière dont lui réfléchit à ce sujet est par contre très intéressante.

Un point très positif aussi pour ma première lecture maltaise : on apprend des petites choses sur l’histoire maltaise, sur des traditions du pays (tant de choses dont je suis complètement ignorante). La traductrice a fait un très bon travail tant au niveau de la traduction, que des notes de bas de page, pour éclairer le lecteur francophone.

Je lirai d’autres livres de cet auteur, peut être en anglais (s’il n’y a pas de nouvelles traductions), car j’ai apprécié l’écriture ainsi que sa manière de raconter son histoire.
… (meer)
 
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CecileB | 2 andere besprekingen | May 18, 2016 |

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