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Bezig met laden... De wereld aan het einde van de wereld (1989)door Luis Sepúlveda
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Hay que seguir las huellas sanguinarias del feroz capitán Tanifuji, encontrar pruebas, denunciarlo, impedir la barbarie y salvar a Sarita, atrapada en una enmarañada red de oscuros intereses internacionales. Tornare. Gli orizzonti, i colori, i profumi, le forme del paesaggio, gli animali, le storie, i fantasmi. Ritrovarsi. Nel mondo, nelle narrazioni di chi non si è mai allontanato fisicamente o anche solo spiritualmente. Proteggere. Perchè questo mondo non è solo cosa, oggetto, risorsa, ma è parte della nostra identità profonda; ucciderlo vuol dire rinunciare a sé, rinnegarsi. Un adolescente, enardecido por la lectura de Moby Dick, aprovecha las vacaciones de verano para embarcarse, en los confines australes de América, allí donde se termina el mundo, en un ballenero que por primera vez llevará por esos mares donde todavía navegan legendarios héroes de verdad y de mentira. Muchos años después, el joven chileno, ya convertido en adulto y residente al otro lado del planeta, periodista y miembro activo del movimiento Greenpeace, vuelve inesperadamente a los lejanos parajes de su escapada juvenil por una razón muy distinta, pero tal vez igualmente romántica: barcos piratas están depredando la fauna marítima que habíta las gélidas e impolutas aguas del mundo del fin del mundo. – Oui, le voyage, le bateau m’ont plu. Et vous, et les Chilotes, et l’Argentin, vous me plaisez aussi. Et la mer me plaît. Mais je crois que je ne serai pas baleinier. Excusez-moi si je vous déçois, mais c’est la vérité. Je crois que c’est le premier livre que j’ai lu de Sepúlveda, alors que je commençais tout juste à m’aventurer dans les rayons des librairies sans tenir compte des prescripteurs officiels (comme on dit aujourd’hui : les profs, les médias…). Je découvrais alors la littérature d’Amérique latine et un océan de possibilités s’ouvrait devant mes yeux émerveillés et avides. Je relis ce livre peu ou prou 25 ans plus tard et j’ai retrouvé le même plaisir (celui de la découverte en moins). Ce petit livre qui ne paye pas de mine vaut bien plus qu’il ne pèse. Les phrases y sont courtes, les mots simples, mais les images sont fortes et présentes. On sent les embruns salés sur les lèvres, la morsure du froid sur les pommettes, l’émerveillement devant le jeu des lumières et des vagues. Je ne suis jamais allée au Chili (même si, depuis que je connais Sepúlveda j’en rêve), mais j’ai pourtant cru, pendant le temps de ma lecture, y être. Le gamin de la première partie, celui qui se lance à l’aventure parce qu’il a lu [Moby Dick], ç’aurait pu être moi si j’étais plus téméraire, et j’ai cru pendant un moment que c’était moi. Et le livre ne s’arrête pas à cela. Ce n’est pas qu’une histoire de vent dans les voiles et d’écume à la poupe du navire. Il y a aussi dedans toute la douleur de l’exil, qui est indissociable de la personne de Sepúlveda ; il y a le combat pour ce qu’on n’appelait pas encore souvent l’environnement mais plutôt pour la nature, Sepúlveda a été un des premiers militants dans ce domaine, très proche de Greenpeace par exemple. Il n’est pas facile alors de ne pas voir dans ce texte narré à la première personne des souvenirs personnels. Il y en a certainement une bonne part, mais Sepúlveda est un auteur trop pudique pour nous permettre de démêler le vrai de l’inventé. Tout ce que j’aime de Sepúlveda est donc présent dans ce texte, souvent de façon ténue et à peine esquissée. Je ne l’avais probablement pas vu lors de ma première lecture, mais découvrir cela au cours de cette relecture m’a émue. Ce livre me conforte dans mon idée de lire l’intégralité des livres de Sepúlveda, je sais que ce seront toujours de bons moments. Il m’a donné, encore une fois, l’envie de lire Moby Dick, que j’ai commencé deux fois et que, à mon grand désespoir, je n’ai jamais pu finir, et peut-être aussi l’envie de lire [En Patagonie] de Bruce Chatwin, qui dort sur mes étagères. Un livre qui ouvre sur le large et sur d’autres lectures, un livre simple et subtil, d’un optimisme désespéré ou d’un pessimisme serein sinon joyeux, un livre comme un coquillage pour entendre le ressac de la mer et les douceurs d’un humanisme sans fioriture. geen besprekingen | voeg een bespreking toe
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De wereld aan het einde van de wereld by Luis Seplveda (1994) Geen bibliotheekbeschrijvingen gevonden. |
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Google Books — Bezig met laden... GenresDewey Decimale Classificatie (DDC)813Literature English (North America) American fictionLC-classificatieWaarderingGemiddelde:
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Il mondo alla fine del mondo è partito alla grande, con un riferimento a Moby Dick, che ho letto molto tempo fa, ma del quale conservo un ricordo bellissimo. In effetti, il romanzo di Melville avrà la sua importanza ne Il mondo alla fine del mondo e, oltre ad aprirlo, ne segnerà anche la chiusura. Ora, io ritengo piuttosto pericoloso citare capolavori della letteratura nella propria opera: si rischia di creare aspettative mostruosamente alte nel lettore e, se alla fine si disattendono, son dolori.
E questo è esattamente quello che mi è successo con Il mondo alla fine del mondo: tutti a sbandierare chissà quale avventura e io mi sono annoiata a morte. Meno male ha poche pagine e un carattere gigantesco.
Il fatto è che, se voleva essere una denuncia ecologista, non poteva essere più fiacca di così. Se voleva essere un addio all'avventuroso mondo dei capitani cacciatori di balene, in onore a Moby Dick, si sarebbe meritato qualcosa di più grandioso. Se voleva esserci un tocco di realismo magico, la magia s'è persa nell'oceano.
Insomma, da qualunque punto di vista guardi questo romanzo, non riesco a trovarci un solo motivo perché sia valso il mio tempo. Posso consigliarlo solo come lettura leggera. ( )