Il più bel libro letto quest'anno, senza se e senza ma. Tra distopie e fantascienza, sette storie, apparentemente slegate fra loro, da leggere e apprezzare. Mi è stato consigliato e, ora posso dirlo, la dritta si è rivelata corretta. Da leggere. ( )

7 romans ? 6 nouvelles et un roman ? en fait "romans" tout court et l'on découvre pourquoi dans les deux derniers chapitres de ce livre.
"Il n'est pas question pour moi de vous livrer toutes les clefs d'interprétation : ce serait à la fois fastidieux pour vous et dangereux pour moi. (...) je vous laisse découvrir par vous-même les correspondances, comme dans une miniature abyssale, entre l'oeuvre écrite et l'une ou l'autre de mes multiples biographies." (page 594 - Ed Folio)
Et c'est là le problème de ma lecture et en partie ma déception, à la lecture du septième texte, j'attendais d'avoir les clés de lecture des six premiers. Je ne les ai pas vu, pas comprise ou plutôt entre-aperçu par flash, de temps en temps.
J'ai apprécié les six nouvelles qui ouvrent ce livre, chacune surprenante dans leur histoire et apportant intelligemment des éclairages aux réflexions permanentes sur le temps, la mémoire, la vie, les causes et ses conséquence. Le septième texte s'appuie sur le thème classique (excellemment traité, entre autre, par Kem Grimwood - Replay) du renouvellement perpétuel de sa vie. la mise en perspective des six nouvelles précédentes, est loin d'être évidente et s'est voulu par l'auteur. J'ai fini par m'ennuyé à la lecture de ce dernier texte.
Déjà "Faber, le destructeur", ne m'avait pas convaincu. Cette fois-ci encore je ne me suis pas attaché au narrateur et ses vies répétées.
C'est peut-être le style de Tristan Garcia, sa manière de raconter et voir le monde. ( )