Klik op een omslag om naar Google Boeken te gaan.
Bezig met laden... Onde Estivestes de Noite (Em Portugues do Brasil) (1974)door Clarice Lispector
Geen Bezig met laden...
Meld je aan bij LibraryThing om erachter te komen of je dit boek goed zult vinden. Op dit moment geen Discussie gesprekken over dit boek. geen besprekingen | voeg een bespreking toe
Onderdeel van de uitgeversreeks(en)
Clarice Lispector regnes i dag blant verdenslitteraturens viktigste moderne forfattere. Hvor var dere i natt er en novellesamling fra 1974. Samlingen utforsker hjertets dimensjoner, områdene som grenser mot villfarelser, illusjoner, magi, androgynitet - det innerste laget av et menneskes væren. Natten presenterer seg selv som en materialisering av en drøm, et sted for ritualer, for usannsynlige hendelser, men full av kompakt realitet - til morgenen er der, klar og nyvasket. Morgenen som med ydmykhet kan huse natten og «den letteste og stilleste måten å eksistere.» Geen bibliotheekbeschrijvingen gevonden. |
Actuele discussiesGeenPopulaire omslagen
Google Books — Bezig met laden... GenresDewey Decimale Classificatie (DDC)869.342Literature Spanish and Portuguese Portuguese Portuguese fiction 20th Century 1945-1999LC-classificatieWaarderingGemiddelde:
Ben jij dit?Word een LibraryThing Auteur. |
> Éditions des femmes : https://www.desfemmes.fr/litterature/ou-etais-tu-pendant-la-nuit/
> Bibliographie : https://id.erudit.org/iderudit/035774ar
> De l'extraordinaire auteure de La Passion selon G.H. et de Agua Viva, un recueil de nouvelles d'une incroyable finesse. (A.M.A, J.L.)
—La vie en rose
> OÙ ÉTAIS-TU PENDANT LA NUIT ?, de Clarice Lispector, traduit du brésilien par Geneviève Leibrich et Nicole Biros, Paris, Des femmes, 1985. — De quoi rêvais-tu ? Que faisais-tu, toi qui feins de croire encore en ton innocence ? « La nuit présentait une possibilité exceptionnelle Au plus noir de la nuit d'un été brûlant un coq, à une heure inaccoutumée, lança son cri, une fois, une seule, signal d'alerte marquant le début de l'ascension de la montagne. » (p.63)
Il y a de l'exigence à lire Clarice, car elle tourmente l'oubli : quête millénaire née de la peur, car elle questionne. Mais il y a aussi le jeu, la permission de jouer, de prendre à pleines mains, de sentir, de goûter, d'entendre. Entendez-vous monter l'allégro, le jazz, le tambour, l'alléluia ? L'écriture de Clarice est bonne. Comme on le dit de ce qui est salutaire, nécessaire, généreux. L'écriture de Clarice donne. C'est terrible, les livres de Clarice, quand on y entre. Car ils s'ouvrent sur le chemin le moins facile : l'escarpé, le désorganisateur. Où étais-tu pendant la nuit ? nous transporte. Où ? « Au-delà de l'oreille existe un son, à l'extrémité du regard un aspect des choses, au bout des doigts un objet — c'est là que je vais.» (p. 111)
Et je tremble en parlant d'elle, qu’on ne lit que si peu. Clarice, à ce seul nom, je me sens fondre. Il faut l'avoir lue, la relire : son très beau Près du coeur sauvage, écrit à 17 ans, sa Passion selon G.H. ou encore l'Aqua Viva, ou encore et encore... Ses livres nous rejoignent par les éditions Des femmes. Il n'y a plus d'excuse. (Maryse CHOINIÈRE)
—La vie en rose, 1987, mai : https://collections.banq.qc.ca/ark:/52327/2226157