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Quelques semaines après l'invasion allemande de la Pologne, pressentant que des temps lourds de dangers s'ouvrent devant eux, Emanuel Ringelblum et quelques Juifs de Varsovie mettent en place une équipe de collecte d'informations et de documents qui se réunit chaque samedi sous le nom d'Oneg Shabbat, « la joie du shabbat ».La finalité de cette collecte va changer avec le temps : de preuves pour l'après-guerre, elle devient une accumulation de preuves pour les générations à venir. Témoignage du désastre sans précédent qui prétend éradiquer un peuple décrété « en trop » sur la terre.Dans le même temps, Ringelblum tient un Journal, rédigé en yiddish, de façon intermittente, en un style parfois haché, voire sibyllin. Au fil des mois, la description de l'effroyable misère organisée par les Allemands prend le dessus. S'impose la description (et la colère froide qui l'accompagne) de la trahison d'une partie des classes dominantes juives, de la bassesse de beaucoup, de la trahison d'une poignée. Mais l'auteur met aussi en lumière la solidarité et la vivacité de la résistance culturelle à ce martyre. Réquisitoire implacable, ce texte, par ses notations sèches qui ne cèdent jamais à l'indignation de posture, fustige l'égoïsme de classe qui structure les sociétés juives. Comme les autres.La présente traduction de ce manuscrit retrouvé à la Libération comprend l'intégralité des chroniques quotidiennes de Ringelblum. Après la publication d'une partie des archives d'Oneg Shabbat il y a dix ans, elle complète l'édifice des voix d'outre-tombe venues du judaïsme de Varsovie. … (meer)
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Opdracht
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Eerste woorden
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Brève histoire du ghetto de Varsovie Georges Bensoussan
Le 1er septembre 1939, l’armée allemande entre en Pologne. Deux millions de Juifs polonais passent sous sa coupe, près des deux tiers d’une communauté (3,3 millions de personnes) qui constitue le principal foyer du judaïsme européen. [...]
Note relative à la traduction du Journal du ghetto d’Emanuel Ringelblum
La présente traduction du texte yiddish du journal d’Emanuel Ringelblum (selon l’orthographe polonaise) comprend l’intégralité de son travail de diariste, c’est-à-dire des chroniques quotidiennes qu’il a entamées peu avant l’invasion nazie de la Pologne. [...]
1939-1940
Septembre 1939
À la veille de la Guerre mondiale
Le départ du pays pour Genève. Les péripéties pénibles afin d’obtenir un passeport. [...]
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Quelques semaines après l'invasion allemande de la Pologne, pressentant que des temps lourds de dangers s'ouvrent devant eux, Emanuel Ringelblum et quelques Juifs de Varsovie mettent en place une équipe de collecte d'informations et de documents qui se réunit chaque samedi sous le nom d'Oneg Shabbat, « la joie du shabbat ».La finalité de cette collecte va changer avec le temps : de preuves pour l'après-guerre, elle devient une accumulation de preuves pour les générations à venir. Témoignage du désastre sans précédent qui prétend éradiquer un peuple décrété « en trop » sur la terre.Dans le même temps, Ringelblum tient un Journal, rédigé en yiddish, de façon intermittente, en un style parfois haché, voire sibyllin. Au fil des mois, la description de l'effroyable misère organisée par les Allemands prend le dessus. S'impose la description (et la colère froide qui l'accompagne) de la trahison d'une partie des classes dominantes juives, de la bassesse de beaucoup, de la trahison d'une poignée. Mais l'auteur met aussi en lumière la solidarité et la vivacité de la résistance culturelle à ce martyre. Réquisitoire implacable, ce texte, par ses notations sèches qui ne cèdent jamais à l'indignation de posture, fustige l'égoïsme de classe qui structure les sociétés juives. Comme les autres.La présente traduction de ce manuscrit retrouvé à la Libération comprend l'intégralité des chroniques quotidiennes de Ringelblum. Après la publication d'une partie des archives d'Oneg Shabbat il y a dix ans, elle complète l'édifice des voix d'outre-tombe venues du judaïsme de Varsovie.