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Het boek en de broederschap (1987)

door Iris Murdoch

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LedenBesprekingenPopulariteitGemiddelde beoordelingDiscussies / Aanhalingen
7281331,033 (3.75)1 / 41
Tijdens hun studententijd in Oxford vormen zes personen een links geïnspireerde broederschap. Eén van hen krijgt de opdracht hun ideeën en maatschappelijke opvattingen neer te schrijven in een boek. De schrijver evolueert echter naar extreem anarchistische opvattingen, wat spanningen met de andere leden van de broederschap veroorzaakt.… (meer)
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Groep OnderwerpBerichtenNieuwste bericht 
 Iris Murdoch readers: The Book and the Brotherhood11 ongelezen / 11sibylline, oktober 2013

» Zie ook 41 vermeldingen

Engels (12)  Frans (1)  Alle talen (13)
1-5 van 13 worden getoond (volgende | toon alle)
Iris Murdoch se salta a la torera la máxima de "no cuentes, muestra" y no deja de contar en toda la novela. Relata una escena con todo detalle, se mete en la mente de todos los sujetos presentes, y lo que ocurrió antes y después a cada uno de ellos, que son un lote, por otra parte. Y nunca aburre.
Por el medio anota todos los cambios de pareceres que van surgiendo, romances, enamoramientos, decepciones, mentiras, lo raros e inconsistentes que somos y, de paso, nos suelta una chapa sobre filosofía, ética y política. Y sigue sin aburrir.
Por si fuera poco, acaba metiendo algunas notas de magia sobrenatural en una novela realista y no nos resulta extraño, sino que son detalles que encajan perfectamente en el hilo narrativo que no nos deja levantar la vista del libro.
En fin, que una maravilla. Y que si queréis una crítica más seria, al final del libro, os la ofrece Fresán. ( )
  Orellana_Souto | Jul 27, 2021 |
Excellent read. Oxford friends enact their imagined worlds with devastating consequences. Murdoch grabs your interest with an exacting dissection of the motivations behind what we do and the way we see ourselves.
All the wonderful Murdoch touches are here; descriptions of clothes, meals and furniture, and even notes that one of the characters has gone to Harrods to buy some Egyptian cotton sheets.
She's a genius.
  ivanfranko | Aug 11, 2020 |
Le roman s’ouvre sur une longue et impressionnante scène de bal à l’université d’Oxford. L’occasion de planter une galerie de personnages dont on comprendra peu à peu les liens qui les unissent.
Cette brillante scène inaugurale plonge le lecteur dans un univers shakespearien, entre intrigue et magie, dont l’auteure a le secret. Soirée un peu folle, nocturne (où chacune cherche son chacun et vice versa), au cours de laquelle tout semble à la fois possible et impossible, où les amours se nouent, se défont ou se ratent.
Bien que le procédé du retour en arrière propre à un récit soit connu pour être régulièrement usité en littérature, il est particulièrement bien maîtrisé dans The Book and the Brotherhood. L’introduction sommaire et « de plain-pied » des personnages et de leurs actes, projette sur eux l’ombre d’un passé qu’il nous tarde de voir éclairé.

On s’aperçoit assez rapidement qu’on a affaire à une bande d’amis qui se connaissent pour la plupart depuis l’université : Gerard, Rose, Jenkin, Duncan, Jean, Gulliver et Crimond. La lunaire Lily, qui vante les exploits de sorcellerie de sa grand-mère, n’est qu’une pièce rapportée qui peine à trouver sa place au sein d’un cercle plus « intello ». Se greffe à ce cénacle un personnage beaucoup plus jeune mais qui occupe une place assez centrale dans le récit, dans la mesure où il s’offre en miroir pour autrui : celui de Tamar, nièce de Gerard, qui connaît bien chacune des personnes composant le petit cercle initial mais qui développera des liens particuliers avec Duncan, Lily et Jenkin. D’autres personnages figurent dans le roman parmi lesquels on trouve Violet, mère involontaire, amère et vengeresse de Tamar, Gideon et sa femme Patricia ou bien encore le défunt Sinclair, frère de Rose dont Gerard était amoureux, et dont le souvenir est régulièrement rappelé. C’est qu’Iris Murdoch sait incarner et donner vie à ses personnages (y compris aux défunts), quelle que soit la place qu’ils occupent dans le récit.

Mais LE personnage central du livre, dont on ignore finalement l’essentiel mais qui mène le bal de bout en bout, c’est le mystérieux et tourmenté Crimond. Objet de fascination, de passion amoureuse (qui n’est pas sans rappeler le personnage de Pasolini dans Théorème), de peur, de rejet ou d’indignation, c’est peu dire qu’il ne laisse personne indifférent. Les idées révolutionnaires post-marxistes qui l’agitent et occupent toute sa vie doivent faire l’objet de la rédaction d’un livre, en gestation depuis ses années universitaires. Au point que ses amis décident de créer une sorte de confrérie propre à financer le projet d’un homme désargenté –car intégralement dévoué à son grand œuvre– mais potentiellement génial.

La lassitude de devoir financer un « ami » aussi peu amical que Crimond, qui fait traîner son projet en longueur, qui ne manifeste aucune gratitude envers ses bienfaiteurs et qui ne prend même pas la peine de les tenir informés sur l’état d’avancement de son travail, prend une tout autre dimension lorsque Crimond pousse, pour la deuxième fois, Jean à quitter son mari (Duncan).

La confrérie se concerte et vacille face à ce coup de tonnerre et certains membres (Rose et Gulliver en tête) considèrent que l’heure des comptes a sonné. Il s'agit d'un basculement important, puisqu'il est l'occasion de mettre en lumière la grande difficulté à rester fidèle à ses idéaux de jeunesse. Crimond, en tant que personnage entier et radical, le seul à vouloir entretenir la flamme de la révolution, le seul qui n'ait pas trahi ses idéaux et ne se soit pas laissé glisser dans un environnement bourgeois, devient un archétype auquel on se mesure et en fonction duquel on explore sa conscience. Le caractère imbuvable de Crimond permet heureusement de s'arranger plus aisément avec cette dernière.

Comme dans ses autres romans, Iris Murdoch décrit, dissèque (en grattant parfois jusqu’à l’os) les relations qui unissent des personnes, en duo, en trio ou en sein d’un groupe. Elle sait le faire avec beaucoup d’adresse et d’acuité, même si les interactions humaines et sentimentales qu’elle met en lumière semblent parfois schématiques. A aime B qui aime C qui aime D… : comprendre Tamar aime (ou croit aimer) Duncan qui aime Jean qui aime Crimond qui aime (momentanément ?) Rose qui aime Gerard qui aime Jenkin… L’amour et la suspicion d’amour semblent s’équivaloir puisque les transferts d’affection sont légion. La nature et la fonction du sentiment amoureux sont finalement plutôt malmenées par l’auteure qui n’hésite pas à en démontrer les accents irrationnels, contradictoires, éphémères ou vides. Quand on trouve qu’elle force un peu le trait (que dire de la déclaration d’amour de Crimond à Rose à la fin du livre, de même que du grand trouble passager qu’il sème en elle), il faut se rappeler l’intérêt tout particulier qu’Iris Murdoch porte au théâtre.

Quels que soient leur âge et leur histoire personnelle, les personnages n’en finissent pas de s’interroger et d’errer ; peinant véritablement à s’accomplir, les femmes –décidément pas présentées sous leur meilleur jour– sont les premières victimes d’un sentiment de vide. Souffrant de dépendance affective qui les oblitèrent en tant qu’individus et les forcent à l’inaction (Jean, Rose, Tamar), elles sont par ailleurs dépressives (Tamar, Violet, Lily). Même si les personnages masculins ne sont pas exempts d’un sentiment de désespoir (Duncan, Crimond) ou d’incertitude face aux choix qu’il conviendrait de faire pour mener à bien leur existence (Jenkin, Gerard), ils ne sont en aucun cas aussi velléitaires que les femmes et leur désespoir peut être fécond (Crimond en est la parfaite illustration).

La soif de l’amour parfait, exclusif et inconditionnel, incarné par la relation entre Crimond et Jean, est décrite sous la lumière la plus crue qui soit : celle de l’enfermement, de la folie, de la destruction et du suicide. L'amour est aussi vécu comme une véritable maladie chez Duncan, irrémédiablement attaché à Jean, qui le quitte à deux reprises, à quelques années d'intervalle, pour rejoindre Crimond.
L’auteure ne laissera jamais à qui que ce soit la possibilité de couler des jours heureux et insouciants. L'amour et l'amitié -sentiments aux frontières très ténues- sont nécessairement cannibales.

Une fois de plus, la romancière se laisse aller à des descriptions souvent trop détaillées de l’habillement et de l’alimentation des personnages mais on le lui pardonne assez facilement, dans la mesure où ces quelques fioritures littéraires n’entravent pas la dynamique du récit.

Car il reste toujours suffisamment à méditer sur la dimension tragique des personnages de Murdoch, marionnettes aux prises avec les caprices et les griffes du destin et du hasard. Sur l’insoutenable désir de pureté (notamment incarné par le personnage de Tamar) et les trahisons de toutes sortes qui en résultent. Les aventures des personnages ne sont-elles pas uniquement le résultat de songes ou d'illusions magiques ? À l'exception de Jenkin, dont la mort semble s'offrir en symbole d'expiation pour l'ensemble du groupe, tout ne "rentre-t-il pas dans l'ordre" à la fin du livre ? Jean est retournée à son mari, Gerard à Rose, Gulliver à Lily, Tamar à l'université, etc.

The Book and the Brotherhood illustre une fois de plus -la thématique traverse l'ensemble de l'oeuvre d'Iris Murdoch- la difficulté extrême sinon l'impossibilité à décider de sa voie et du sens à donner à son existence. D'où l'attention unanime et excessive portée à Crimond qui semble le seul à savoir à quoi il se destine et qui sera le seul à réussir à mener jusqu'au bout le projet poursuivi depuis sa jeunesse. L'auteure compte-t-elle nous dire qu'il convient d'être illuminé et obsessionnel pour y parvenir ?

Restera aussi pour le lecteur le souvenir de scènes magnifiques, parmi lesquelles émergent incontestablement la scène inaugurale du bal à Oxford et le plan suicidaire en voiture, orchestré par le maléfique Crimond. ( )
  biche1968 | Mar 13, 2019 |
I first read this novel some thirty odd years ago, shortly after it was published. At that point I hadn’t read anything else by Iris Murdoch, and had picked it up on the basis of a newspaper review and a recommendation from Lucy, the manager of the old branch of Dillons in Covent Garden who had the most amazing green eyes, and could easily have persuaded me to buy virtually anything, or even everything, in the shop.

Lucy spoke with straight tongue, and I remember being enthralled as I slowly worked my way through it. (It is a large book and Iris Murdoch’s writing, while rewarding to the reader, is never quickly consumed.) I recently had a conversation about Iris Murdoch with one of my colleagues, who suggested that this book was probably her finest. Having always been an advocate of [The Sea, The Sea] as one of the greatest novels of the twentieth century, I felt that I had better revisit it to see what I thought.

I have recently been very disappointed when returning to reread favourite novels from the past. No such worries on this occasion. It remains, of course, a substantial read, and it has taken me a long time, but the complexities of the plot and the depth of detail in the characterisation amply compensate the reader for their effort.

As with so many of Iris Murdoch’s novels, the characters live in a strange world, slightly removed from the ordinary cut and thrust of life, and operate with a dense maelstrom of moral conflict. This book opens at a Commem Ball at an unspecified Oxford College, attended by a group of alumni and their friends, all of whom are stunned by the revelation that David Crimond, formerly of their ‘set’ is also there. We then learn that some thirty odd years ago, following their graduation, the group of friends had been deeply committed to left wing politics. Within their group, these views were most clearly and passionately articulated by Crimond, who went on to enjoy a certain notoriety as a Marxist campaigner and agitator. The group of friends had undertaken to support him in the writing of a book that would synthesis his views into a new Marxist manifesto. This undertaking became known as the Crimondgesellschaft, modelled on the Musilgesellschaft which supported Robert Musil throughout the writing of his [The Man Without Qualities] series of novels.

As time wore on, the group became estranged from Crimond and his views. Their political inclinations mellowed while his remained firm. Despite this estrangement, they had continued to fund the research and writing of his book, although they became increasingly alarmed about what form it might take.

Their estrangement was bot, however, solely a consequence of the divergence of their respective political ethos. Some years before the novel opens, Crimond had had an affair with the wife of one of the group. While she had subsequently returned to her husband, the bitterness that this had caused seemed almost insuperable. His entirely unforeseen emergence at the College Ball sends reverberations through the group, with devastating effects.

While most of the novel attends to the interactions between the various members of the group, whose relationships are certainly intricate and unconventional, there are some key crisis points, where it seems as if Iris Murdoch has suddenly slipped a gear or switched on the overdrive, with the novel suddenly lurching to a completely new level. There are some quite shocking incidents, too, yet while they come as a surprise at the time, they fit entirely into the greater scheme of the novel.

I believe that iris Murdoch wrote all her novels by hand, in a series of exercise books, and that they seldom required any significant editorial reorganisation. For a novel as complex as this, that must have been an awesome feat of mental discipline. She was, of course, first and foremost an academic, engaged throughout her career at Oxford in the study of philosophy. always denied that her novels were works of philosophy, but I am not convinced of that. This one fairly crackles with philosophical dialogue and exploration, although divining which views were most closely aligned with her own would be more of a challenge than I would care to take on. ( )
  Eyejaybee | Jan 7, 2018 |
I read this Murdoch immediately after having finished reading The Seed Collectors by Scarlett Thomas. It was such a relief to feel that I could relate to the characters. In some senses the book is dated, but then so is Dickens. However it seemed in the end that Crimond and Duncan got off scot free both being implicated in the death of Jenkin.

I guess the key to this book is that explores the nature of friendship and love.
  louis69 | Feb 10, 2016 |
1-5 van 13 worden getoond (volgende | toon alle)
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AuteursnaamRolType auteurWerk?Status
Iris Murdochprimaire auteuralle editiesberekend
Marcellino, FredArtiest omslagafbeeldingSecundaire auteursommige editiesbevestigd
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To Diana Avebury
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'David Crimond is here in a kilt!'
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Wikipedia in het Engels (1)

Tijdens hun studententijd in Oxford vormen zes personen een links geïnspireerde broederschap. Eén van hen krijgt de opdracht hun ideeën en maatschappelijke opvattingen neer te schrijven in een boek. De schrijver evolueert echter naar extreem anarchistische opvattingen, wat spanningen met de andere leden van de broederschap veroorzaakt.

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Boekbeschrijving
Haiku samenvatting

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