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Bezig met laden... Everyone Leavesdoor Wendy Guerra
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Meld je aan bij LibraryThing om erachter te komen of je dit boek goed zult vinden. Op dit moment geen Discussie gesprekken over dit boek. I'm always intrigued by Cuba and how people live there, but this ended up being a plod to read, particularly during Nieve's teen years when she's sorting through her confusion as a young adult in a very political country. I did appreciate the line "Cuban politics are in what we eat, in what we wear, in where we live, in what we have, and even in what we don't have....If you want to escape politics, you have to escape from Cuba." I think that sums it up right there. geen besprekingen | voeg een bespreking toe
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When Nieve Guerra finds herself caught between the tides of her parents' turbulent relationship and a country torn apart by political unrest, she begins recording the intimate and harsh details of her life within the pages of her Diary. Nieve is sent away from her mother, her mother's free-spirited and loving Swedish boyfriend Fausto, and her childhood city of Cienfuegos and forced to endure unrelenting abuse at the hand of her father. Only her Diary will not leave her. It is her only friend, her sole outlet for her joy, sadness, and anger, and because of it she is able to remain in Cuba, her only home. Geen bibliotheekbeschrijvingen gevonden. |
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Google Books — Bezig met laden... GenresDewey Decimale Classificatie (DDC)863.7Literature Spanish and Portuguese Spanish fiction 21st CenturyLC-classificatieWaarderingGemiddelde:
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> Psychologies magazine : https://fr.calameo.com/books/000048378bf6d93a97b95
> Journal intime d'une jeune rebelle dans le Cuba de la guerre froide, ce premier roman de Wendy Guerra révèle une voix prometteuse...
Le journal de Nieve est une enclave de liberté et de poésie dans un pays muselé, un territoire où elle peut enfin échapper aux intrusions de la politique, recopier les vers de ses auteurs préférés avant d'y noter les siens. Dans la prose de Nieve, le temps file vite, comme dans un sablier. Le mur de Berlin s'effondre, on brandit la glasnost sur les décombres de l'URSS, mais à Cuba, les murs tiennent bon. Dès qu'ils le peuvent, les artistes embarquent pour le monde libre. Nieve aussi voudrait partir, elle et sa mère ont «les bras fatigués de dire adieu». Il n'existe qu'un ailleurs pour Nieve : son journal, qui a vu la naissance d'une jeune femme, d'une poétesse et d'une résistante.
--(Astrid Eliard - Le Figaro du 17 avril 2008)
> Un témoignage sous la forme d'un journal par une jeune romancière cubaine qui a choisi la résistance...
On est frappé par l'authenticité de ce journal, composé sous l'étouffoir d'un régime où triomphe le mensonge : Nieve écrit d'abord avec la naïveté de son âge et puis, au fil des années, sa prose mûrit, gagne en rigueur et en lucidité politique...
Quand tout le monde s'en va, Wendy Guerra, elle, reste. Pour témoigner. Son livre est un acte de résistance. Et un pied de nez aux dinosaures castristes.
--(André Clavel - Lire, juin 2008)
> C'est un voyage intérieur nourri des pensées, des sensations, des colères et des souffrances d'une petite fille qui espère grandir, devient adolescente, puis femme après une première nuit d'amour, son "baptême du feu". C'est aussi un voyage à l'intérieur d'une île magique et désolée, au régime absurde et brutal, Cuba. L'héroïne, la narratrice, s'appelle Nieve - la neige en espagnol. Drôle d'idée, alors que la seule neige qu'on connaisse là-bas est celle des téléviseurs à la fin des programmes. L'auteur, elle, se prénomme Wendy, comme la Wendy de Peter Pan, autre drôle d'idée sous le soleil des tropiques. Nieve et Wendy se ressemblent sûrement, mais qu'importe. Ce qui compte, c'est que Tout le monde s'en va, de la Cubaine Wendy Guerra, née en 1970, est un splendide roman. Son premier...
Tout le monde s'en va n'a pas été publié à Cuba, mais d'abord en Espagne, en 2006, où il a reçu le prix Brugera et où le quotidien El Pais l'a désigné "meilleur roman de l'année". Il a connu un énorme succès en Amérique latine. C'est lors d'une signature au Chili, en 2007, que Wendy Guerra a vu pour la première fois la neige : "J'en ai pleuré", nous a-t-elle confié lors d'un récent séjour à Paris.
--(Le Monde du 4 juillet 2008)