StartGroepenDiscussieMeerTijdgeest
Doorzoek de site
Onze site gebruikt cookies om diensten te leveren, prestaties te verbeteren, voor analyse en (indien je niet ingelogd bent) voor advertenties. Door LibraryThing te gebruiken erken je dat je onze Servicevoorwaarden en Privacybeleid gelezen en begrepen hebt. Je gebruik van de site en diensten is onderhevig aan dit beleid en deze voorwaarden.

Resultaten uit Google Boeken

Klik op een omslag om naar Google Boeken te gaan.

Bezig met laden...

Het oponthoud (1947)

door Jean-Paul Sartre

Andere auteurs: Zie de sectie andere auteurs.

Reeksen: De wegen der vrijheid (2)

LedenBesprekingenPopulariteitGemiddelde beoordelingAanhalingen
1,5571011,495 (3.91)29
It is September 1938 and during a heatwave Europe tensely awaits the outcome of the Munich conference, where they will learn if there is to be a war. In Paris people are waiting too, among them Mathieu, Jacques and Philippe, each wrestling with their own love affairs, doubts and angsts - and none of them ready to fight. The second volume in Sartre's wartime Roads to Freedomtrilogy, The Reprievecuts between locations and characters to build an impressionistic collage of the hopes, fears and self-deception of an entire continent as it blinkers itself against the imminent threat of war.… (meer)
Bezig met laden...

Meld je aan bij LibraryThing om erachter te komen of je dit boek goed zult vinden.

Op dit moment geen Discussie gesprekken over dit boek.

» Zie ook 29 vermeldingen

Engels (6)  Frans (2)  Duits (1)  Italiaans (1)  Alle talen (10)
1-5 van 10 worden getoond (volgende | toon alle)
Hervorragender Einblick in das Geschehen vor der Eingliederung des Sudetenlands 1938 in das Deutsche Nazireich. Sartres Darstellung ist eine Collage mit vielen, sehr persönlichen, Eindrücken verschiedenster Menschen, überwiegend aus Frankreich. Der Roman ist keine historische Erzählung, weil die Fakten irgendwo dazwischen, nur am Rande, notiert werden. Die verschiedenen Beiträge ergeben am Ende einen intensiven Eindruck vom damaligen Geschehen und erklären auf sehr subjektive Weise, wie Hitler und die Nazis damit durchkommen konnten. Das Buch ist seit dem Überfall Russlands auf die Ukraine wieder sehr aktuell, weil die Vorkommnisse von damals gut mit der heutigen Situation verglichen werden können. Und so gibt das Buch einige Informationen, die zum Verständnis der aktuellen Weltsituation gut herangezogen werden können. Sartre hat das Buch nach dem Ende des zweiten Weltkriegs veröffentlicht und hatte also genug Zeit, die Auswirkungen der damaligen Geschehnisse beim Schreiben des Buches zu berücksichtigen.

Outstanding insight into the events preceding the incorporation of the Sudetenland into the German Nazi Reich in 1938. Sartre's depiction is a collage with many, very personal, impressions from a variety of people, predominantly from France. The novel is not a historical narrative, as the facts are only noted in passing, somewhere in between. The various contributions ultimately create an intense impression of the events at the time and explain in a very subjective way how Hitler and the Nazis could get away with it. Since Russia's invasion of Ukraine, the book has become very relevant again, as the occurrences of that time can be well compared with today's situation. Thus, the book offers some information that can be well used to understand the current global situation. Sartre published the book after the end of World War II and thus had enough time to consider the effects of the events at the time while writing the book. ( )
  frieder23 | Sep 19, 2023 |
Le Sursis est le second tome de la trilogie (qui devait être une tétralogie avec « La dernière chance », 4ème tome resté inachevé) des Chemins de la liberté.
« Seize heures trente à Berlin, quinze heures trente à Londres ». Le roman se déroule sur trois jours, au moment des Accord de Munich de la fin septembre 1938. L’ombre de la seconde guerre mondiale plane partout et dans tous les esprits, bouscule sa manière de vivre et de penser sa vie.
Rompant résolument avec le rythme lent de L’âge de raison, Le Sursis est mené tambour battant. Son rythme effréné et libre est comparable à du free jazz. Le lecteur est aspiré dans un tourbillon de situations et de personnages (veiller à prendre des notes tant il est facile de s’y perdre !) selon un principe de correspondances et d’associations d’idées. Passant régulièrement de la troisième à la première personne, Sartre ne précise pas le nom du personnage dont on suit la pensée et les phrases qui se succèdent peuvent décrire des lieux et situations très divers. L’exercice de style est un peu casse-gueule dans la mesure où le risque de perdre le lecteur n’est pas nul mais il faut justement tout le talent de Sartre pour parvenir avec succès à donner vie et chair à cette galerie vibrionnante et bruissante de personnages. Même si l’on n’échappe pas totalement aux artifices ici et là.
Sartre a visiblement choisi ce mode ultra-rapide, omniscient et omniprésent pour capter le pouls de l’actualité. Il nous offre la description de ce qu’il voit en instantané, comme si toutes les vies exposées étaient projetées sur de multiples écrans simultanés.
En ayant recours à la simultanéité, au montage, au discours (très grande place aux dialogues) et à la continuité, Sartre propose une lecture très cinématographique, dans un style moderniste et même assez expérimental. Le Sursis, c’est l’intelligence en marche, mettant une fois de plus en lumière la pensée existentialiste de son auteur.
Extraits :
« Les gens avaient l’air triste mais c’était de naissance. Pourquoi se battraient-ils ? Ils n’attendaient plus rien, ils avaient tout. Ça devait être sinistre de ne rien espérer sauf que la vie continuât indéfiniment comme elle avait commencé ».
« Brunet s’arrêta ; il se sentit sucré par une lâche douceur et pensa : « S’il n’y avait pas de guerre ? S’il pouvait n’y avoir pas de guerre ! » Et il regardait avidement les grandes portes cochères, la vitrine étincelante de Driscoll, les tentures bleu roi de la brasserie Weber. Au bout d’un moment, il eut honte ; il reprit la marche, il pensa : « J’aime trop Paris ». Comme Pilniak, à Moscou, qui aimait trop les vieilles églises. Le Parti a bien raison de se méfier des intellectuels ».
« Il [Mathieu] se sentait sinistre et léger ; il était nu, on lui avait tout volé. Je n’ai plus rien à moi, pas même mon passé. Mais c’était un faux passé et je ne le regrette pas. Il pensa : ils m’ont débarrassé de ma vie. C’était une vie minable et ratée, Marcelle, Ivich, Daniel, une sale vie, mais ça m’est égal, à présent, puisqu’elle est morte. A partir de ce matin, depuis qu’ils ont collé ces affiches blanches sur les murs, toutes les vies sont ratées, toutes les vies sont mortes. Si j’avais fait ce que je voulais, si j’avais pu, une fois, une seule fois, être libre, eh bien, ça serait tout de même une sale duperie, puisque j’aurais été libre pour la paix, dans cette paix trompeuse et qu’à présent je serais tout de même ici, face à la mer, appuyée à cette balustrade, avec toutes les affiches blanches derrière mon dos ; toutes ces affiches qui parlent de moi, sur tous les murs de France, et qui disent que ma vie est morte et qu’il n’y a jamais eu de paix : ça n’était pas la peine de me donner tant de mal, pas la peine d’avoir tant de remords ».
« Qu’est-ce qui serait le plus révolutionnaire ? pensa-t-il. Partir ou ne pas partir ? Si je pars, je fais la révolution contre les autres ; si je ne pars pas, je la fais contre moi, c’est plus fort ».
Daniel à Mathieu : « Me comprendras-tu d’abord, si je te dis que je n’ai jamais su ce que je suis ? Mes vices, mes vertus, j’ai le nez dessus, je ne puis les voir, ni prendre assez de recul pour me considérer ensemble. Et puis j’ai je ne sais quel sentiment d’être une matière molle et mouvante où les mots s’enlisent ; à peine ai-je tenté de me nommer, que déjà celui qui est nommé s’est confondu avec celui qui nomme et tout est remis en question. J’ai souvent souhaité me haïr, tu sais que j’avais pour cela de bonnes raisons. Mais cette haine, dès que je l’essayais sur moi, se noyait dans mon inconsistance, ce n’était déjà plus qu’un souvenir. Je ne pouvais pas m’aimer non plus – j’en suis sûr, bien que je ne l’aie jamais tenté. ( )
  biche1968 | Mar 13, 2021 |
A very decent novel about the period just before WW2, when war is looming on the horizon. There are quite a few characters and we are able to explore many positions of class, propriety, and social influences that are pushing the characters towards their eventual destinations and we are able to understand the motivations that guide them to a higher degree. The novel is very dramatic and Sartre approaches it carefully and successfully to show what he is trying to both explain and denote in his fiction.

3.5 stars. ( )
  DanielSTJ | Jan 12, 2020 |
Fiction describing the despair and confusion surrounding the events of the Treaty of Munich. Sartre, I admit, is not one of my favorite authors. But both the stream-of-consciousness style and the historical context gave me a better footing for appreciating the sulkiness that pervades his books. ( )
  HadriantheBlind | Mar 30, 2013 |
Un formicolare di personaggi, a occhio almeno una ventina, le cui vicende rimangono separate per tutto il romanzo, e di cui si descrivono le azioni alternandole all'interno dello stesso capoverso: un romanzo con la dose di sperimentalità che ci si aspetta da un famoso filosofo. Tutte queste vicende si svolgono all'ombra dei giorni precedenti la conferenza di Monaco del 1938, quando prima sembrò che stesse per scoppiare la guerra e poi tutti, o quasi, esultarono per la "pace" - e chiudendo il libro si ha un moto di simpatia per l'esclamazione di Edouard Daladier: "Che imbecilli!". ( )
  marcel.bergeret | Mar 5, 2013 |
1-5 van 10 worden getoond (volgende | toon alle)
geen besprekingen | voeg een bespreking toe

» Andere auteurs toevoegen (12 mogelijk)

AuteursnaamRolType auteurWerk?Status
Sartre, Jean-PaulAuteurprimaire auteuralle editiesbevestigd
Mok, M.VertalerSecundaire auteursommige editiesbevestigd
Picasso, PabloArtiest omslagafbeeldingSecundaire auteursommige editiesbevestigd
Sutton, EricVertalerSecundaire auteursommige editiesbevestigd

Onderdeel van de reeks(en)

Onderdeel van de uitgeversreeks(en)

Je moet ingelogd zijn om Algemene Kennis te mogen bewerken.
Voor meer hulp zie de helppagina Algemene Kennis .
Gangbare titel
Oorspronkelijke titel
Alternatieve titels
Oorspronkelijk jaar van uitgave
Mensen/Personages
Belangrijke plaatsen
Belangrijke gebeurtenissen
Verwante films
Motto
Opdracht
Eerste woorden
Citaten
Laatste woorden
Ontwarringsbericht
Uitgevers redacteuren
Auteur van flaptekst/aanprijzing
Oorspronkelijke taal
Gangbare DDC/MDS
Canonieke LCC

Verwijzingen naar dit werk in externe bronnen.

Wikipedia in het Engels (1)

It is September 1938 and during a heatwave Europe tensely awaits the outcome of the Munich conference, where they will learn if there is to be a war. In Paris people are waiting too, among them Mathieu, Jacques and Philippe, each wrestling with their own love affairs, doubts and angsts - and none of them ready to fight. The second volume in Sartre's wartime Roads to Freedomtrilogy, The Reprievecuts between locations and characters to build an impressionistic collage of the hopes, fears and self-deception of an entire continent as it blinkers itself against the imminent threat of war.

Geen bibliotheekbeschrijvingen gevonden.

Boekbeschrijving
Haiku samenvatting

Actuele discussies

Geen

Populaire omslagen

Snelkoppelingen

Waardering

Gemiddelde: (3.91)
0.5
1
1.5
2 9
2.5 1
3 31
3.5 8
4 57
4.5 6
5 38

Ben jij dit?

Word een LibraryThing Auteur.

 

Over | Contact | LibraryThing.com | Privacy/Voorwaarden | Help/Veelgestelde vragen | Blog | Winkel | APIs | TinyCat | Nagelaten Bibliotheken | Vroege Recensenten | Algemene kennis | 204,756,911 boeken! | Bovenbalk: Altijd zichtbaar