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Theodicy: essays on the goodness of God, the…
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Theodicy: essays on the goodness of God, the freedom of man, and the origin of evil (origineel 1709; editie 1993)

door Gottfried Wilhelm Leibniz, Freiherr von (Auteur), Austin Marsden Farrer (Redacteur), Austin Marsden Farrer (Introductie), E M Huggard (Vertaler), C J Gerhardt (Redacteur)

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In order to be truly free, must you act arbitrarily? If an event did not happen, could it have happened? Since there is evil, and God could have made the world without evil, did God fail to pick the best course? Grappling with such simple--yet still intriguing--puzzles, Leibniz was able to present attractively his new theories of the real and the phenomenal, freewill and determinism, and the relation between minds and bodies. Theodicy was Leibniz's only book-length work to be published in his lifetime, and for many years the work by which he was known to the world. Fully at home with the latest scienctific advances, Leibniz ultimately rejected the new atomistic philosophies of Descartes, Gassendi, and Hobbes, and drew upon the old cosmology of Aristotelian scholasticism. There could be no conflict, he argued between faith and reason, freedom and necessity, natural and divine law. Ingeniously defending his postulate of pre-established harmony, Leibniz made important advances in theprecise analysis of concepts.… (meer)
Lid:lidaskoteina
Titel:Theodicy: essays on the goodness of God, the freedom of man, and the origin of evil
Auteurs:Gottfried Wilhelm Leibniz, Freiherr von (Auteur)
Andere auteurs:Austin Marsden Farrer (Redacteur), Austin Marsden Farrer (Introductie), E M Huggard (Vertaler), C J Gerhardt (Redacteur)
Info:La Salle, Ill. : Open Court, ©1985. 4th printing 1993.
Verzamelingen:mike's
Waardering:
Trefwoorden:philosophy, theology, god, freedom, evil, ΦSF class

Informatie over het werk

Theodicy: Essays on the Goodness of God, the Freedom of Man, and the Origin of Evil door Gottfried Wilhelm Leibniz (1709)

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12/10/21
  laplantelibrary | Dec 10, 2021 |
Le terme de « théodicée » signifie étymologiquement « justice de Dieu » (du grec théos, Dieu, et dikè, justice), c’est un discours se proposant de « justifier la bonté de Dieu par la réfutation des arguments tirés de l’existence du mal dans ce monde, et par suite la réfutation des doctrines athées ou dualistes qui s'appuient sur ces arguments »[7]. Il est essentiel de souligner le principal enjeu de la théodicée leibnizienne. La question est d’abord : comment accorder l’existence du mal avec l’idée de la perfection générale de l’univers ? Mais, par delà les difficultés internes à la métaphysique leibnizienne, on trouve le problème suivant : comment accorder l’idée de la responsabilité ou de la culpabilité de l’homme dans le mal avec le sentiment que cet homme agit de la seule manière dont il était possible qu’il agît. La réponse de Leibniz au conflit entre nécessité et liberté est originale. L’exemple de Judas le traître, tel qu’il est analysé dans la section 30 du Discours de Métaphysique est éclairant : certes, il était prévisible de toute éternité que ce Judas-là dont Dieu a laissé l’essence venir à l’existence, pècherait comme il a péché, mais il n’empêche que c’est bien lui qui pèche. Le fait que cet être limité, imparfait (comme toute créature) entre dans le plan général de la création, et donc tire en un sens son existence de Dieu, ne le lave pas en lui-même de son imperfection. C’est bien lui qui est imparfait, de même que la roue dentée, dans une montre, n’est rien d’autre qu’une roue dentée : le fait que l’horloger l’utilise pour fabriquer une montre ne rend pas cet horloger responsable du fait que cette roue dentée n’est rien d’autre, rien de mieux qu’une roue dentée. Le principe de raison suffisante, parfois nommé principe de « la raison déterminante » ou le « grand principe du pourquoi », est le principe fondamental qui a guidé Leibniz dans ses recherches : rien n’est sans une raison qui explique pourquoi il est plutôt qu’il n’est pas, et pourquoi il est ainsi plutôt qu’autrement. Leibniz ne nie pas que le mal existe. Il affirme toutefois que tous les maux ne peuvent pas être moindres : ces maux trouvent leur explication et leur justification dans l’ensemble, dans l’harmonie du tableau de l’univers. « Les défauts apparents du monde entier, ces taches d’un soleil dont le nôtre n’est qu’un rayon, relèvent sa beauté bien loin de la diminuer ». (Théodicée, 1710 - parution en 1747). Répondant à Bayle, il établit la démonstration suivante: si Dieu existe, il est parfait et unique. Or, si Dieu est parfait, il est « nécessairement » tout-puissant, toute bonté et toute justice, toute sagesse. Ainsi, si Dieu existe, il a, par nécessité, pu, voulu et su créer le moins imparfait de tous les mondes imparfaits; le monde le mieux adapté aux fins suprêmes. En 1759, dans le conte philosophique Candide, Voltaire fait de son personnage Pangloss le porte-parole du providentialisme de Leibniz. Il y déforme volontairement sa doctrine en la réduisant à la formule: « tout est au mieux dans le meilleur des mondes possibles ». Cette formule ne se trouve pas dans l’œuvre leibnizienne. Jean-Jacques Rousseau rappellera à Voltaire l’aspect contraignant de la démonstration de Leibniz : « Ces questions se rapportent toutes à l’existence de Dieu. (…) Si l’on m’accorde la première proposition, jamais on n’ébranlera les suivantes; si on la nie, il ne faut pas discuter sur ses conséquences. » (Lettre du 18 août 1756). Toutefois le texte de Voltaire ne s'oppose pas à Leibniz sur un plan théologique ni métaphysique : le conte de Candide trouve son origine dans l'opposition entre Voltaire et Rousseau, et son contenu cherche à montrer que ce ne sont pas les raisonnements des métaphysiciens qui mettront fin à nos maux, faisant l'apologie d'une philosophie volontariste invitant les hommes à organiser eux-mêmes la vie terrestre et où le travail est présenté comme source de progrès matériels et moraux qui rendront les hommes plus heureux.
  vdb | Dec 15, 2010 |
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In order to be truly free, must you act arbitrarily? If an event did not happen, could it have happened? Since there is evil, and God could have made the world without evil, did God fail to pick the best course? Grappling with such simple--yet still intriguing--puzzles, Leibniz was able to present attractively his new theories of the real and the phenomenal, freewill and determinism, and the relation between minds and bodies. Theodicy was Leibniz's only book-length work to be published in his lifetime, and for many years the work by which he was known to the world. Fully at home with the latest scienctific advances, Leibniz ultimately rejected the new atomistic philosophies of Descartes, Gassendi, and Hobbes, and drew upon the old cosmology of Aristotelian scholasticism. There could be no conflict, he argued between faith and reason, freedom and necessity, natural and divine law. Ingeniously defending his postulate of pre-established harmony, Leibniz made important advances in theprecise analysis of concepts.

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