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Bezig met laden... Fuck Amerika : Bronsky's bekentenis (1980)door Edgar Hilsenrath
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Meld je aan bij LibraryThing om erachter te komen of je dit boek goed zult vinden. Op dit moment geen Discussie gesprekken over dit boek. La famiglia dell'ebreo tedesco, Jakob Bronsky, nel 1939 scrive al Console americano chiedendo un visto per fuggire dalla Germania e trovare rifugio in America. Ma l'accesso in America è contingentato a quote ben specifiche di immigrati. C'è una lista di attesa. La famiglia Bronky otterrà il visto nel 1952. (!) Questo incipit grottesco introduce subito in un'atmosfera surreale con un protagonista - Jakob Bronsky - che ricorda molto il Bardamu di Cèline. Aspirante scrittore perennemente al verde, Bronsky vive di espedienti a New York per guadagnare quanto basta a "tirare avanti" un certo periodo e poter finire il suo romanzo. Solo scrivendo interamente la sua storia il giovane immigrato sembra dare un senso all'esistenza, ma per farlo deve ricordare un periodo che lo ha devastato: la seconda guerra mondiale. Libro "contro la violenza e la disumanità" raccontato in modo ironico e poetico. Molto consigliato. New York, 1952. Des Etats-Unis aux antipodes de l'american dream. La statue de la Liberté jouant à cache-cache. Jakob Bronsky et ses vêtements élimés, ses chaussures bon marché, ses jobs miteux, rescapé de la seconde guerre. Un trou dans ses souvenirs. Qui est-il? Un écrivain en devenir. Le titre de son livre: "Le branleur". Un devenir s'enracinant dans son expérience de la guerre, du ghetto. Un devenir brinquebalant aux racines explosées. Un devenir qui crève la faim. Un devenir apatride. Un devenir où pointe la misère sociale, économique, mais aussi existentielle. En partie autobiographique, Fuck America a longtemps été refusé par les éditeurs allemands car Hilsenrath, survivant du ghetto, a une approche très crue de la Shoah. Le burlesque et le cynisme donnent lieu à un tango littéraire aux accents acerbes et terriblement drôles. Des pas chaloupés dressant le portrait d'une America individualiste, où l'argent est le maître mot et où l'exilé peine à trouver sa place. Satire du rêve américain, certes, Fuck America est plus encore. Jakob Bronsky essaie de combler le trou dans ses souvenirs par l'écriture. Une résilience. Un moyen aussi pour lui de s'inscrire dans un monde qui "ne le comprend pas" et "qu'il ne comprend pas". Quelle est la place d'un exilé, comment se relever après la guerre, comment se faire entendre? Comment vivre? Comment être? Un roman très fort, absurde, drôle, drôle, drôle... et terrifiant. Il met le lecteur face à l'exil et à l'exilé en tant que personne, qu'être. Comment vivre sa mémoire et comment se projeter dans un monde nouveau où personne n'entend, où personne ne veut entendre? geen besprekingen | voeg een bespreking toe
Onderdeel van de uitgeversreeks(en)Ullstein Buch (20224)
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Google Books — Bezig met laden... GenresDewey Decimale Classificatie (DDC)833.914Literature German literature and literatures of related languages German fiction Modern period (1900-) 1900-1990 1945-1990LC-classificatieWaarderingGemiddelde:
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La dernière partie achève de nous convaincre du grand talent de l'auteur, lorsqu'il raconte son expérience de la déportation, en tant que juif polonais, dans un subtil mélange de styles entre récit psychanalytique imaginaire et écriture autobiographique, transmission sur le papier de vieux souvenirs un peu flous de ce qu'on peut vivre de plus terrible et inimaginable.
Juste un bémol sur le style un peu lourd de certains des dialogues comiques de la première partie du bouquin, par leur théâtralité.
C'était un cadeau de ma maman. ( )