Good discipline-crossing study, and one of those books that communicates a deep idea with ease. ( )

Overall, this is an incredible book. I like the way James Lovelock took us through the concept of Gaia and how the world operates as an integrated system.
This fact still eludes many of us, and it is tragic.
The book is also a timely warning to those who wish to play God.
However, there seems to be misplaced optimism in the book, that the world will always repair itself. This, I believe, is a weakness. ( )

> LA TERRE EST UN ÊTRE VIVANT L'hypothèse Gaïa, de James LOVELOCK (1989 - Ed. du Rocher)
La vie n’est pas indépendante du milieu terrestre, soumise à la nécessité de s’y adapter, mais au contraire, elle interagît constamment avec ce milieu.
—3e millénaire, (26), Hiver 1992

> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Lovelock-La-Terre-est-un-etre-vivant-Lhypothese-G...
> BAnQ (Le sentier : journal communautaire de St-Hippolyte) : https://collections.banq.qc.ca/ark:/52327/4060989
> BAnQ (La presse, 6 juin 1994) : https://collections.banq.qc.ca/ark:/52327/2177945
> BAnQ (La presse, 16 sept. 1989) : https://collections.banq.qc.ca/ark:/52327/2262853
> BAnQ (Québec science, 1992, Juin) : https://collections.banq.qc.ca/ark:/52327/2874159

> LA TERRE EST UN ÊTRE VIVANT, de James Lovelock - Ed. Flammarion poche. — Mondialement célèbre pour avoir énoncé dans cette étude “ l’hypothèse Gaïa ”, du nom de la déesse antique représentant la Terre, ce scientifique britannique ignorait tout des travaux de Vernadsky et de Teilhard de Chardin lorsque ses propres recherches l’amenèrent à formuler son fabuleux scénario. Avec lui, les visions d’un tout petit cénacle vont devenir mondiales et populaires. Nous vivons sur le dos d’une incroyable géante, dont l’écorce terrestre est la peau, l’atmosphère le souffle, les forêts la toison... et nous, les parasites un peu violents, qui ont tendance à la rendre chauve !
—Nouvelles Clés

> LA TERRE EST UN ÊTRE VIVANT, L'hypothèse Gaïa, par Uppaluri-Gopala Krishnamurti. — "La Terre est un être vivant : L'hypothèse Gaïa" est un livre écrit par J-E Lovelock qui propose une nouvelle façon de voir notre planète. Dans ce livre, Lovelock avance l'hypothèse selon laquelle la Terre pourrait être considérée comme un être vivant. Cette idée révolutionnaire est basée sur l'observation de la manière dont les éléments du système terre, tels que les océans, l'atmosphère et la biosphère, interagissent entre eux pour maintenir les conditions favorables à la vie.
Lovelock utilise le nom Gaïa, emprunté à la mythologie grecque, pour décrire la Terre comme un organisme complexe et interconnecté. Il explique également comment la vie sur Terre a contribué à maintenir un environnement stable et propice à la vie, et comment les humains ont perturbé cet équilibre.
Ce livre est une lecture fascinante pour ceux qui s'intéressent à la science et à l'environnement. Il invite le lecteur à repenser sa relation avec la planète et à prendre en considération l'impact de nos actions sur l'environnement et l'humanité dans son ensemble.
—BooksAI

> L’HYPOTHÈSE GAÏA AVAIT PRÉVU LA COVID-19, par Loyola Leroux. — Pouvions-nous continuer ainsi ? Des immenses paquebots de croisières avec 8000 personnes à bord débarquant à Venise; trois millions de Canadiens se promenant à l'étranger, dont 5,625 au Pérou par exemple; l'industrie de l'aviation non soumise aux Protocole de Kyoto et de Paris sur la réduction des GES, etc.? La théorie Gaïa propose une nouvelle conception de la terre et du maintien de conditions de vie. Son nom est celui de la divinité personnifiant la terre dans la mythologie grecque.
Cette hypothèse a été émise pour la première fois en 1972, par James Lovelock, un expert dans les sciences de l'atmosphère, à qui la NASA avait demandé en 1960 d'imaginer d'autres formes de vie qui pourraient être rencontrées dans l'univers. La NASA se lançait à la conquête de l'espace et ne voulait pas être prise au dépourvu, face à de nouvelles formes de vie inconnues.
Selon cette théorie, le système terrestre se comporte comme un système unique autorégulateur doté d'éléments physiques, chimiques, biologiques et humains, en interaction constante, capables d'entretenir la vie. La planète prend soin d'elle-même et, comme le corps humain, elle se débarrasse des cellules mortes chaque jour, grâce aux virus entre autres. Cela pourrait aller, selon Lovelockjusqu'à se débarrasser des humains, s'ils menacent la vie de Gaïa. Cette nouvelle idée est plus facilement comprise pour ceux qui travaillent et vivent de l'agriculture ou de la foresterie.
Gaïa, la terre, serait un être vivant et non une roche inerte. C'est très rassurant et positif.
Tout comme nous, elle a la grippe des virus. Elle doit se débarrasser des cellules mortes et des cellules itinérantes inutiles. N'est-ce pas ce qui se passe actuellement avec ce virus nommé COVID-19 ou coronavirus ? | Lovelock, James E., La terre est un être vivant : l’hypothèse Gaïa, Flammarion, 1979.
—Le sentier, Vol. 38, no 3, Mai 2020, (p. 21)
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Références Wikipédia
https://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9ories_Ga%C3%AFa
https://controverses.sciences-po.fr/archive/gaia/wordpress/index-23081.html
https://www.babelio.com/livres/Lovelock-La-Terre-est-un-etre-vivant-Lhypothese-G...
Encyclopédie de l'Agora
https://agora.qc.ca/dossiers/lovelock-james

Lovelock's seminal work is big on speculation but low on hard data. However, that's usually how sound hypotheses originate and Lovelock's classic is a refreshing dose of "big picture" thinking in a world full of myopic people. ( )

Interesting theory, but could have been presented better.

One of New Scientist magazine's 25 most influential science books. I intend to read (or re-read four) them all and randomly chose this one to start. I think I'll have to come back to it after I've thought a bit on the premise. ( )