Some say this is a work of philosophy, if so then so is every fairytale ever told and every Gulliver-esque satire ever penned.
It starts off like ancient myth or history, but aesthetically more akin to 'Gods of Egypt' than say 'Moses'. After a while it gives up on this and becomes more of a satire. Most of the satire is still understandable but some is a little hard to decipher.
The fairytale love story elements take a bit of an interesting turn towards the end but not enough. And then its all over, i can't quite tell whether the author got bored or just ran out of ideas.
Overall its mildly diverting, i'd have given it 3 stars in a void but comparing it to other satires, there's just so many more interesting things to read. ( )

A Princesa da Babilônia´ narra a história amorosa de Formosante, filha do rei Belus da Babilônia, e de Amazan, pastor de uma terra imaginária situada às margens do Ganges. Outra principal protagonista é uma fênix, maravilhosa ave, de plumagem belíssima o corpo é dourado e o pescoço ostenta todas as cores do arco-íris. O bico é cor-de-rosa e os pés, uma mescla de prata e púrpura. Tal como na lenda, é uma ave mágica, que renasce das próprias cinzas.

« Ce qu'il y avait de plus admirable à Babylone, ce qui éclipsait tout le reste, était la fille unique du roi, nommée Formosante. Ce fut d'après ses portraits et ses statues que dans la suite des siècles, Praxitèle sculpta son Aphrodite et celle qu'on nomma la Vénus aux belles fesses. Que de différence, ô ciel! de l'original aux copies. Aussi Bélus était plus fier de sa fille que de son royaume. Elle avait dix-huit ans : il lui fallait un époux digne d'elle, mais où le trouver ? » ...

« Ce qu'il y avait de plus admirable à Babylone, ce qui éclipsait tout le reste, était la fille unique du roi, nommée Formosante. Ce fut d'après ses portraits et ses statues que dans la suite des siècles, Praxitèle sculpta son Aphrodite et celle qu'on nomma la Vénus aux belles fesses. Que de différence, ô ciel! de l'original aux copies. Aussi Bélus était plus fier de sa fille que de son royaume. Elle avait dix-huit ans : il lui fallait un époux digne d'elle, mais où le trouver ? » ...