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Bezig met laden... La Voie du sabredoor Thomas Day
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Meld je aan bij LibraryThing om erachter te komen of je dit boek goed zult vinden. Op dit moment geen Discussie gesprekken over dit boek. Pour parfaire l’éducation de son fils Mikédi, le chef de guerre Nakamura Ito le confie à un rônin du nom de Miyamoto Musashi. Un samouraï de légende, le plus grand maître de sabre qu’ait connu l’Empire des quatre Poissons-Chats. Ensemble, pendant six longues aimées, le maître et l’apprenti vont arpenter la route qui mène jusqu’à la capitale Edo, où l’Impératrice-Dragon attend Mikédi pour en faire son époux. Mais la Voie du Sabre est loin de trancher l’archipel en lime droite : de la forteresse Nakamura aux cités flottantes de Kido, du Palais des Saveurs à la Pagode des Plaisirs, Mikédi apprendra les délices de la jouissance, les souffrances du combat, et la douceur perverse de la trahison. Avec La Voie du Sabre, Thomas Day plonge ses lecteurs dans un japon de fantasy, un japon du XVIIe siècle qui tue fut jamais, où la magie et les dragons existent, où le métal météoritique des sabres est trempé dans le sang. geen besprekingen | voeg een bespreking toe
Onderdeel van de reeks(en)La Voie du Sabre (1) Onderdeel van de uitgeversreeks(en)Gallimard, Folio SF (115) Prijzen
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Je n'ai pas réussi à accrocher à ce Japon fantasmé. Là où je pensais que la connaissance qu'a l'auteur du Japon historique donnerai du poids et de crédibilité au cadre, j'ai plutôt trouvé que les allusions en soulignaient l'artificialité. Contrairement au pseudo-Japon de Lian Hearn (Le Silence du rossignol), les écarts à l'histoire ou au réalisme ne sont pas ici mis au service de l'histoire. Un exemple : pourquoi avoir déplacé Bizen et son fléau d'armes vers Hokkaïdo (Yeso à l'époque), alors que l'île était alors à peine peuplée et que les mers à pirates ne manquaient pas, que ce soit la Mer Intérieure ou la Mer de Chine ?
Certaines allusions semblent également rapportées d'un peu loin. Dans le passage sur le village flottant vivant de la proximité des baleines, comment ne pas songer au passage similaire dans l'Ultime rivage de Le Guinn ? En à peu près le même volume toutefois, Le Guinn me donne une impression beaucoup plus claire de son village que ne m'en inspirent les pages de Thomas Day, sans doute par ce qu'au rebours des personnages de Le Guinn, le narrateur est ici complètement centré sur lui-même, sans empathie avec ce qui l'entoure.
En termes de structure, si l'idée des récits imbriqués rompt opportunément la linéarité d'une trajectoire du héros qui avance (trop) vite, l'auteur ne tire pas parti de la diversité des narrateurs. Qu'il s'agisse d'une souillon, d'une tisserande, d'un génial excentrique ou d'une geisha cultivée, les récits utilisent le même ton et le même vocabulaire, celui d'un narrateur qui ne se met pas en peine de retranscrire les différences de niveau de langage.
Mon impression d'ensemble est d'avoir lu un récit que j'aurais sans doute apprécié étant adolescent, mais dont je perçois maintenant les faiblesses. ( )