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The Cannery Boat (1929)

door Takiji Kobayashi

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From Wikipedia: Kanikosen is a novel by Takiji Kobayashi, written in 1929. Written from a communist point of view, it concerns the crew of a crab fishing ship's hardships as they struggle under capitalist exploitation. The book has been made into a film and as manga.
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 Japanese Culture: The Cannery Boat by Takiji Kobayashi16 ongelezen / 16Teacup_, september 2008

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«Vamos hacia el infierno». Así empieza la historia del Hakko Maru, un pesquero que faena en las gélidas aguas de Kamchatka, al este de Rusia, y de su tripulación: una variopinta colección de curtidos lobos de mar arruinados por la bebida y las mujeres, estudiantes universitarios en deuda con el Estado y campesinos pobres al borde de la inanición.
Mientras la ventisca muerde la cubierta y convierte a los barcos en fantasmas, el patrón de la expedición pesquera obliga a los tripulantes a trabajar hasta el agotamiento y les aplica castigos brutales si se atreven a protestar. Poco a poco, se extiende el germen de la revuelta y, a pesar de que buques de la Armada Imperial Japonesa patrullan la zona para mantener el orden entre los pescadores, estalla el inevitable motín.
  meltxor | Oct 17, 2022 |

«—Nuestros únicos aliados somos nosotros mismos. Ahora lo he entendido —dijo uno de los obreros.»

El acorazado Potemkin: uno de los íconos de la filmografía soviética, y tal vez el mejor testimonio que nos ha legado el mítico Eisenstein; es una referencia obligada al momento de mencionar este libro. No solo son obras contemporáneas (la película, hay que decirlo, es un par de años anterior a esta pequeña novela), sino que también se tocan temas similares: la miseria, la sobreexplotación de los trabajadores, la vida en alta mar, el espíritu de rebelión... Incluso el foco que ambos manejan, netamente proletario (o comunista, si se quiere). Pero hasta ahí llegan las similitudes.

Lo que Eisenstein tenía de lirismo, Kobayashi lo tiene de cruel y directo. La narrativa, más bien parca, se dedica casi exclusivamente a pintar un retrato de las lamentables penurias que marinos y pescadores deben atravesar en un barco pesquero de mala muerte (más de una vez, bastante literal), a causa de la avaricia extrema de su patrón. En cierto momento, tienen algunos roces con los rusos, y la propaganda comunista empieza a correr de mano en mano. Sin embargo, debe ocurrir un evento algo extremo para que despierten y decidan comenzar una revuelta contra sus superiores.

El autor, ferviente activista comunista, moriría torturado a manos de fuerzas policiales. En este contexto, ser un caso de «practica lo que predicas» aumenta el carácter panfletario de esta obra, que no obstante se mantiene interesante motu proprio. ( )
  little_raven | Jun 1, 2020 |
Afin que tout soit irréprochable et que rien ne vienne gripper l’engrenage, ils sélectionnaient des travailleurs dociles qui ne s’intéressaient pas aux syndicats. Mais finalement le « travail » tel qu’il était organisé à bord des bateaux-usines aboutissait au résultat inverse de celui qu’ils recherchaient. Les conditions de travail intolérables poussaient irrémédiablement les travailleurs à se rassembler, à se syndiquer. Les capitalistes tout « irréprochables » qu’ils fussent, n’avaient malheureusement pour eux pas assez de discernement pour comprendre ce paradoxe. C’est presque comique, envisagé de ce point de vue. S’ils avaient voulu faire exprès de mettre ensemble des travailleurs non encore syndiqués et les pires soûlards pour leur donner le mode d’emploi du rassemblement, ils ne s’y seraient pas pris autrement.
(p. 98-99, Chapitre 8).

« Le bègue lança : « Pour la grève : Banzai ! » Le cri fut repris en chœur par trois cent hommes, trois fois de suite. » (p. 124, Chapitre 10) Le bateau-usine fait des conserves de crabe, et c’est lui faire honneur que de le comparer à une galère. Les conditions de travail sont inimaginables (au sens littéral, je ne peux pour ma part m’imaginer que ce qui est décrit est réel), les pêcheurs et les travailleurs sont traités avec une inhumanité poussée à l’extrême, peu importe les pertes humaines tant qu’elles meurent en travaillant encore. L’intendant qui représente la compagnie affréteuse incarne le système capitaliste poussé à son paroxysme, où les intérêts financiers d’un petit nombre sont plus importants que la vie du plus grand nombre. Dans ce contexte, le mécontentement sourd, la révolte prend forme.

Il est intéressant de lire la postface pour comprendre un peu mieux le contexte dans lequel ce livre a été écrit. L’auteur, Takiji Kobayashi, a laissé peu d’œuvres littéraires, d’une part du fait de son engagement actif pour la cause communiste et d’autre part du fait de sa mort prématurée à l’âge de 29 ans, suite à un interrogatoire de police dont on peut imaginer les conditions. On était en 1933, une période marquée au Japon par un expansionnisme militaire à tout va et un conservatisme social qui ne souffrait guère les remises en cause.
La Bateau usine est son œuvre la plus connue, tant à l’époque de l’auteur qu’aujourd’hui, suite à une redécouverte en 2008 par les jeunes générations touchées par la crise économique et cherchant de nouvelles marques dans une société japonaise en besoin de mutation.

Il me faut avouer que cette lecture ne m’a pas captivée. J’ai trouvé le trait trop forcé, mais je ne sais si c’est l’auteur qui noircit le tableau ou moi qui suis trop naïve. Par ailleurs, le traitement narratif m’a peu plu. Un peu trop didactique et prévisible, me donnant la sensation de lire une œuvre de propagande. Mais aussi un manque de continuité dans la narration, et une fin que je ne peux m’empêcher de trouver bâclée puisque l’on ne saura pas comment se passe la seconde révolte, qui elle réussira, après avoir suivi l’échec de la première.
En lisant l’analyse littéraire en postface, expliquant au lecteur en quoi cette œuvre est fantastique, j’ai compris pourquoi je n’en avais pas apprécié la lecture : tout ce qui y est décrit comme de splendides trouvailles littéraires et tout ce que je déteste en général : Kobayashi aurait voulu utiliser dans ce court roman les procédés du cinéma récent, et aurait voulu mettre en pratique les valeurs communistes : des plans fixes qui se succèdent, sans pour autant assurer une continuité narrative ; pas de personnages qui ressortent, mais une description de la foule, du groupe comme une entité en soi, et j’en passe.

Je comprends donc à la fin de cette lecture que ce livre n’était pas fait pour me plaire. Ne pouvant juger de sa valeur en tant que témoignage d’une situation qui a réellement existé, je n’ai pas non plus su l’apprécier pour son éventuelle valeur littéraire. Cela reste cependant pour moi une lecture intéressante. Intéressant de lire un roman japonais qui tranche par rapport aux livres emblématiques comme ceux de Kawabata ou Soseki, et qui m’a fait découvrir une autre facette de la littérature de ce pays, plus en prise avec la réalité sociale ; intéressant aussi de lire un livre qui a eu un tel succès au Japon dans les dernières années, cela jette une lumière inattendue sur les tensions et les questionnements qui agitent cette société que je connais très mal pour ne pas dire pas du tout.
Une lecture instructive donc, utile peut-être, mais je m’arrêterai là.
  raton-liseur | Apr 2, 2014 |
Best seller inesperat que retrata la creixent ansietat de la clase treballadora davant la precarietat laboral. (The Neww York Times) ( )
  rifi | Mar 1, 2012 |
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From Wikipedia: Kanikosen is a novel by Takiji Kobayashi, written in 1929. Written from a communist point of view, it concerns the crew of a crab fishing ship's hardships as they struggle under capitalist exploitation. The book has been made into a film and as manga.

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