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Bezig met laden... La fiesta del osodoor Jordi Soler
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Meld je aan bij LibraryThing om erachter te komen of je dit boek goed zult vinden. Op dit moment geen Discussie gesprekken over dit boek. En febrero de 1939, Oriol desparece sin dejar rastro, en medio de una terrible tormenta de nieve. A lo largo de varias décadas, su hermano Arcadi, desde el exilio, aguarda la llegada de alguna noticia que le revele su destino, sin perder la esperanza de que siga vivo. Será un sobrino de Oriol, narrador de esta magnífica novela, quien sesenta y cinco años más tarde, en el sur de Francia, haga un descubrimiento inesperado. Una colonia de catalanes en medio de la selva mexicana, el destino incierto de un soldado desaparecido durante la retirada republicana, un gigante aletargado y una fiesta multitudinaria y esperpéntica que oculta una verdad perturbadora. Jordi Soler n’a qu’une obsession, la Guerre d’Espagne et ses ramifications jusqu’à aujourd’hui. Ses trois livres traduits en français (celui-ci est le deuxième que je lis) ressassent inlassablement ce sujet. Bien que romans, ils sont écrits à la première personne, et je ne saurais démêler la part de l’histoire familiale de celle de l’imagination. Ce livre s’attaque à un sujet peu traité, celui de la part sombre des protagonistes d’un conflit, même s’ils sont du « bon côté », du côté des gentils. Non, il n’est pas question de purges ou de règlements de compte, juste d’un individu qui ne se conforme pas à l’image d’Epinal du bon soldat. Sujet tabou, mais tabou que Jordi Soler ne brise pas tout à fait. Quand il est héros, son personnage, Oriol, n’est qu’un piètre héros et quand il est salaud, il n’est pas un salaud de bien grande envergure. Ne me faites pas dire ce que je n’écris pas, mais bon, des vols et un accident, ça ne fait pas vraiment un salaud. Alors certes, le questionnement sur l’intérêt de fouiller le passé, de ressasser les vieilles histoires, de vouloir à tout prix connaître la vérité est intéressant, bien que trop peu effleuré dans ce livre court (un reproche identique à celui du précédent livre de Jordi Soler que j’ai lu, Les Exilés de la Mémoire), mais l’histoire qui illustre ce propos est en définitive assez peu convaincante. Sur ce sujet, je préfère de loin Un Métier de Seigneur, de Pierre Boulle, qui dresse le portrait d’un vrai salaud du bon côté de la barrière, lors de la Seconde Guerre Mondiale. Ce roman, que j’ai lu quand j’avais 16 ans avait été une claque (comme l’on dit familièrement) et je me souviens encore de nombreux détails aujourd’hui. C’est cette lecture-là que je préfèrerais recommander si ce thème vous intéresse… Un relato intimista, entre diario y carta a un amigo. Noviembre e Isolda son intrigantes, pero mudos, al igual que Oriol. "... ir amontonando págionas escritas que al final no serían más que eso, el rastro de los rastros de Oriol." Estremecedor fue ver cómo se agarraba a la vieja imagen de su tío, tocando con la bqanda en las fiestas de la plaza mayor. geen besprekingen | voeg een bespreking toe
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