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Iegor Gran

Auteur van L'écologie en bas de chez moi

24 Werken 178 Leden 6 Besprekingen

Over de Auteur

Bevat de namen: Jegor Gran, Gran Iegor

Werken van Iegor Gran

L'écologie en bas de chez moi (2011) 29 exemplaren
Ipso facto (1998) 27 exemplaren
O N G ! (2003) 26 exemplaren
Les Services compétents (2020) 17 exemplaren
La Revanche de Kevin (2015) 11 exemplaren
Z comme zombie (2022) 10 exemplaren
L'ambition (2013) 9 exemplaren
Le Truoc-nog (2003) 7 exemplaren
Thriller (2009) 5 exemplaren
Écrire à l'élastique (2017) 5 exemplaren
Acné festival (2001) 4 exemplaren
Gli uffici competenti (2022) 3 exemplaren
Le Retour de Russie (FICTION) (2016) 3 exemplaren
Jeanne d'Arc fait tic-tac (2005) 3 exemplaren
Les Trois Vies de Lucie (2006) 3 exemplaren
L'entretien d'embauche au KGB (2024) 3 exemplaren
Spécimen mâle (2001) 2 exemplaren
Vilaines pensées (ACTUALITES) (2014) 1 exemplaar
La vie expliquée à mon père (2011) 1 exemplaar
La Marche du canard sans tête (2021) 1 exemplaar
Le Journal d'Alix (2022) 1 exemplaar

Tagged

Algemene kennis

Gangbare naam
Gran, Iegor
Officiële naam
Siniavski, Iegor Andreïevitch
Geboortedatum
1964-12-23
Geslacht
male
Nationaliteit
USSR
France (naturalized)
Geboorteplaats
Moscow, Russia, USSR
Relaties
Siniavsky, André (father)
Prijzen en onderscheidingen
Grand Prix de l'Humour Noir (2003)

Leden

Besprekingen

Fils d’un dissident soviétique, mais élevé en France, l’auteur écrit là un court et virulent essai sur la société russe à l’occasion de la guerre en Ukraine, mais pas seulement. L’auteur montre que les ¾ des Russes ont été décérébrés par leurs dirigeants depuis longtemps, mais aussi par la télévision à la botte du pouvoir. Ils sont devenus des zombies incapables de réflexion et de remise en cause. Très inquiétant.
 
Gemarkeerd
Marc-Narcisse | Sep 12, 2022 |
> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Gran-La-Revanche-de-Kevin/696766

> LA REVANCHE DE KEVIN, par Iegor Gran (Gallimard, 2016, Poche, 208 pages). — Quand on s’appelle Kevin, un prénom dont on dit qu’il fleure la beaufitude, marqueur social des années boys band, donné à plus de 14 000 bébés nés en France en 1991 puis tombé peu à peu en désuétude sous les commen-taires dédaigneux de celles et ceux qui portent des prénoms plus distin-gués, quand on porte le même prénom que Kevin Costner, élu pire acteur de la décennie aux Razzie Awards, que l’on se moque de vous à l’école et que, plus tard, pour peu que vous travailliez dans un milieu intellectuel, on vous jauge de haut avec un regard entendu, il est possible que l’on se mette à couver un méchant complexe.
Dur dur d’être un Kevin, pourrait-on chanter avec un certain sadisme, tant notre héros a accumulé de petites humiliations. Qu’elles soient souvent imaginaires ne les rend pas moins blessantes – la malédiction de Kevin, comme de tout complexé, est de voir des anguilles sous les roches, obses-sionnellement. Précisons qu’il travaille à la radio, où il côtoie de bien médiocres mandarins qui ne font que saler la plaie.
Pour se venger de ces prétentieux et du monde intellectuel en général, Kevin se livre à un petit jeu. Il traîne aux salons littéraires en se faisant passer pour un éditeur. Forcément, des écrivains en manque de débouchés finissent par lui envoyer des textes. Kevin fait semblant d’entrer en pâmoison, promet des merveilles éditoriales, fait mariner le naïf, avant de disparaître, laissant derrière lui un désordre de vanités froissées. C’est potache et cruel, mais ça soulage.
Avec La Revanche de Kevin, Iegor Gran poursuit donc l’exploration, commencée avec L’Ambition, des postures et des impostures propres à notre époque. Roman sur les faux-semblants littéraires, la vacuité du milieu éditorial, le snobisme des temples où l’on s’assied sur l’humain au nom de la culture, La Revanche de Kevin est aussi un périple dans les arcanes de la frustration comprimée. Qui ne s’est jamais retrouvé dans une situation où, par politesse calculée ou par peur de paraître inculte ou ringard, on masque ses opinions et ses goûts ? Comment ne pas sentir alors le Kevin trépigner au fond de soi ? Comment ne pas chercher la revanche ?
Le scalpel de l’écrivain reste l’ironie froide et dévastatrice ; on y ajoute une véritable tension narrative. Car il y a quelque chose d’inquiétant au royaume de Kevin. Tirées d’une enquête de police, quelques notes de bas de page, posées çà et là, font comprendre dès le début qu’il se trame une abomination, sans que l’on puisse définir précisément à quoi tient le malaise. L’angoisse se nourrit de détails d’apparence insignifiante qui révèlent soudain leur vraie nature – l’art de prendre le lecteur à contre-pied se pratique ici avec gourmandise. Pêle-mêle, parmi les éléments de narration qui cachent bien leur jeu, citons une armoire où l’on stocke des fournitures de bureau, un accident de ski, une jolie stagiaire, une belle-maman un peu trop mère-poule, un vieux livre de Junichirô Tanizaki. Pour sûr, la revanche n’est pas celle que l’on croit.
Johnny Gimenez (Culturebox)
… (meer)
 
Gemarkeerd
Joop-le-philosophe | Dec 29, 2018 |
Quel livre étrange ! À travers les vies de José et Cécile, jeune couple parisien de la génération Y, et celles d’un couple du néolithique, l’auteur s’interroge sur l’ambition. Certains ont des objectifs qu’ils poursuivent avec persévérance , d’autres se laissent porter… J’ai lu le livre assez vite, il est facile et assez agréable mais il ne mène nulle part. L’histoire n’a pas de chute, il n’y a pas de morale ou de thèse. Tout cela est assez décousu et laisse une impression de vide, d’inachevé. Ou alors je ne l’ai pas vu…… (meer)
 
Gemarkeerd
grimm | Oct 28, 2018 |
Pour remettre à leur place les faiseurs de préchi-précha écolo-médiatique, sur fond de photos hyper, super belles et tellement touchantes. Bien documenté
½
1 stem
Gemarkeerd
sylvjt | Sep 19, 2012 |

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