Alexandre-Toussaint Lim De Saint-Didier

LE TRIOMPHE HERMÉTIQUE
OU LA PIERRE PHILOSOPHALE VICTORIEUSE

Le "Triomphe Hermétique est sans conteste
un des traités les plus fameux et les plus appréciés
du XVIIème siècle, pourtant riche en la matière
Sa relative brièveté (153 pp.) ne laisse pas, de ren-
fermer trois sections qui sont, chacune en elle-
même, une célébrité de la littérature alchimique.
En effet, 1' "Ancienne Guerre des Chevaliers",
1 "Entretien d'Eudoxe et Pyrophile", et la "Let-
tre... contenant six principales clefs de la Philoso-
phie secrète", sont connues pour être trois joyaux,
qui méritent à l'ensemble de l'ouvrage son sous-
titre de "Traité plus complet et intelligible qu'ily
ait jusqu'ici touchant le Magistère hermétique… (meer)

LE TRIOMPHE HERMÉTIQUE

Le Triomphe Hermétique ou La Pierre philosophale victorieuse, « Hermétique Triumph ou la pierre philosophale victorieux » est un traité alchimique qui acquiert une notoriété particulière puisqu'elle a été largement cité par Fulcanelli aussi bien dans le mystère des cathédrales et dans son Philosophique logements. Ceci est le travail principal d'Alexandre Toussaint Limojon-Saint-Didier, un diplomate français né vers 1630 à Avignon en Provence.

Culture et de la position lui a permis d'en apprendre davantage sur l'Europe de son temps et voisinent avec des membres très sélect des sphères du pouvoir et du savoir. Il faisait partie du service de Jean-Antoine de Mesmes, comte d'Avaux et marquis de Givry, qui serait nommé ambassadeur extraordinaire de Louis XIV à Venise, si Limojon devait passer à la ville ducale entre 1672 et 1677. Plus tard suivront son maître aux Pays-Bas, où publierait son Lettre d'un secret le philosophe de du grand Œuvre, écrite au sujet de CE qu'Aritée à LAISSE par fils fils à Écrit, Touchant philosophique lui magistère, « Lettre d'un philosophe sur secret du travail Grand, écrit sur ce Aristeo a cessé d'écrire son Fils, se référant au magistère philosophique », ouvrage publié par Adrian Moetjens en 1686.

Conclu son séjour à la Haye autour de 1689, Voyage en Irlande comme châtelain Comte d'Avaux dans une nouvelle mission diplomatique. Le 24 Novembre de cette année, après avoir subi diverses difficultés d'ordre économique, se lance avec Mylord Thomas Howard dans « La Tempête » de se conformer à une ordonnance de Louis XIV. Malgré le mauvais temps, le bateau va à la mer, mais n'atteint jamais sa destination. Cependant, il y a une lettre du 7 Mars 1690 le comte d'Avaux en disant qu ' « un capucin de Londres m'a assuré qu'ils ont eu connaissance de l'Espagne que le navire où il était le seigneur de Saint Didier était arrivé. Je le veux de tout mon cœur, mais je n'ose le célébrer »… (meer)