Afbeelding auteur

Tom Waldman

Auteur van The Party [1968 film]

4 Werken 153 Leden 5 Besprekingen

Over de Auteur

Tom Waldman served as administrative assistant and press secretary to California Congressman Howard Berman from 1992-1999. He has written for publications including the Los Angeles Times and lives with his wife and two sons in West Hills, California

Werken van Tom Waldman

Tagged

Algemene kennis

Er zijn nog geen Algemene Kennis-gegevens over deze auteur. Je kunt helpen.

Leden

Besprekingen

Not a full review, but the author was entertaining enough. I didn't feel like I was going to fall asleep and I didn't feel like he was forcing opinions on me either. This book was actually pretty interesting and informational. I needed to read it for an essay I'm writing on wether Political Parties are good for America. This was really helpful!
 
Gemarkeerd
Nikki_Sojkowski | 1 andere bespreking | Aug 26, 2021 |
Title: The Best Guide To American Politics
Author: Tom Waldman
Summary: Tom Waldman, a former congressman that describes how things are run from inside the government, sharing his wisdom and knowledge about American Politics.
The front cover of the book is a white hard copy with red and blue text showing America’s national colors.
 
Gemarkeerd
lchs.mrso | 1 andere bespreking | May 23, 2017 |
The Party, tourné par Blake Edwards en 1968, est un film totalement à part dans l'univers cinématographique.

Sa grande originalité réside dans sa quasi-absence d'histoire, son rythme lent mais serré (nombreux plans-séquences), sa grande rigueur formelle et esthétique, le soin maniaque apporté à chaque détail, l'interprétation absolument géniale de Peter Sellers (et de Steve Franken, le serveur qui boit comme un trou)... et son irrésistible drôlerie bien sûr, à travers une succession de gags empruntant à la fois aux univers de Tati et de Keaton.

Le genre est celui du burlesque et du décalé frôlant la folie pure, dans un décor et une ambiance totalement surréalistes. Le spectateur assiste ainsi à une sorte d'improvisation permanente parfaitement réglée. Pas étonnant dans ce contexte que de nombreuses scènes du film soient devenues de véritables pièces d'anthologie que l'on ne se lasse pas de voir et revoir.

Pas étonnant non plus que le film ait été très fraîchement accueilli à sa sortie aux Etats-Unis compte tenu de l'image de Hollywood qu'il véhicule. L'envers du décor est effectivement peu reluisant. Sous le vernis de la machine à rêve du cinéma, le réalisateur donne à voir des êtres vides et superficiels, vénaux, arrivistes et plutôt minables, conduits par l'argent facile et la soif de notoriété.

La maison où est donnée la "party" du riche producteur (naturellement fumeur de cigares) symbolise pleinement cet univers en toc et de mauvais goût : ultra-moderne et vaine (on pense un peu à la maison de Mon oncle de J. Tati), riche coquille vide où l'on se défonce dans les toilettes, où l'on s'enivre, où l'on se déhanche seul au rythme de la musique jazz (très bonne bande son signée par Mancini), où l'on se raconte des histoires drôles pas drôles, où l'on fait le VRP de soi-même, où l'on joue et se la joue.

Sous les sourires, des intérêts carnassiers qui tranchent singulièrement avec la candeur de l'acteur indien au nom imprononçable (l'ineffable Peter Sellars grimé en Indien qui en prend tous les accents), invité par mégarde et dont la maladresse engendrera catastrophe sur catastrophe au cours de la soirée.

D'aucuns pourront être gênés par le choix de faire interpréter par un acteur blanc le personnage d'un Indien totalement à côté de ses pompes. Pourtant, que vaut cette suspicion de racisme face à la grande douceur du personnage, seul homme sincère qui apporte l'innocence et la part d'humanité faisant cruellement défaut aux autres convives de la "party"? Seul homme à essayer de soustraire la jeune actrice française invitée aux griffes du réalisateur fat et dégoûtant qui lui promet l'entrée à Hollywood avec l'unique objectif d'abuser d'elle? Seul homme courtois et reconnaissant... et au final parfaitement digne en dépit de ses maladresses sans fin? S'il est le dynamiteur involontaire d'un plateau de tournage et d'une soirée chic dont il ignore les codes, le réel potentiel de nuisance ne vient-il pas clairement des autres personnages?

The Party est une sorte de film muet auquel on a donné la parole. Ses trouvailles riches et drôlissimes, le ballet chorégraphique des acteurs font de lui un film inclassable.

Et légitimement un film culte.
… (meer)
 
Gemarkeerd
biche1968 | 2 andere besprekingen | Mar 24, 2016 |
One of the best. Peter Sellers brings many faces to an ongoing party. No interuptions the comedy continues.
 
Gemarkeerd
millerl | 2 andere besprekingen | Dec 12, 2010 |

Misschien vindt je deze ook leuk

Gerelateerde auteurs

Statistieken

Werken
4
Leden
153
Populariteit
#136,480
Waardering
3.8
Besprekingen
5
ISBNs
11
Talen
1

Tabellen & Grafieken