StartGroepenDiscussieMeerTijdgeest
Doorzoek de site
Onze site gebruikt cookies om diensten te leveren, prestaties te verbeteren, voor analyse en (indien je niet ingelogd bent) voor advertenties. Door LibraryThing te gebruiken erken je dat je onze Servicevoorwaarden en Privacybeleid gelezen en begrepen hebt. Je gebruik van de site en diensten is onderhevig aan dit beleid en deze voorwaarden.

Resultaten uit Google Boeken

Klik op een omslag om naar Google Boeken te gaan.

Bezig met laden...

Over de democratie in Amerika, 2 (1840)

door Alexis de Tocqueville

Andere auteurs: Zie de sectie andere auteurs.

Reeksen: Democracy in America (2)

LedenBesprekingenPopulariteitGemiddelde beoordelingAanhalingen
940822,623 (3.97)2
Over the course of nine months in 1831 Alexis de Tocqueville, a French political thinker, and accompanied by Gustave de Beaumont, travelled the United States under the pretext of studying the American prison system. Over the course of his travels, Tocqueville also studied American society, religion, politics, and economics, undertaking what would become one of the most comprehensive studies to that time of the practice of democracy in the United States. Democracy in America: Volume II continues Tocqueville's exploration of the nature of democracy in the United States, including an analysis of American civil society. Democracy in America was published in two volumes in 1835 and 1840, and is today considered one of the foundational works of political science. HarperTorch brings great works of non-fiction and the dramatic arts to life in digital format, upholding the highest standards in ebook production and celebrating reading in all its forms. Look for more titles in the HarperTorch collection to build your digital library.… (meer)
Geen
Bezig met laden...

Meld je aan bij LibraryThing om erachter te komen of je dit boek goed zult vinden.

Op dit moment geen Discussie gesprekken over dit boek.

» Zie ook 2 vermeldingen

Engels (6)  Spaans (1)  Nederlands (1)  Alle talen (8)
Alexis de Tocqueville wordt in 1805 te Parijs geboren uit een oud adellijk geslacht. Tijdens de Franse Revolutie van 1789 heeft de familie haar trouw aan de koningen met veel slachtoffers op de guillotine moeten betalen. Dit heeft het leven van Tocqueville getekend. Tocqueville studeert rechten en wordt tot gerechtsauditeur benoemd door koning Louis-Philippe. Hij treedt in het huwelijk met een Engelse die hem haar taal leert. In 1830 besluit hij een studiereis te maken naar de jonge Amerikaanse republiek en vijf jaar later verschijnt zijn eerste boek over de democratie in Amerika. In 1840 verschijnt het tweede deel, waarin Tocqueville grondig en systematisch de beschrijvende elementen uit het eerste deel ter hand neemt. Hij maakt zich hierin geleidelijk los van Amerika en tracht tot een ideaal beeld te komen van de politieke ontwikkeling van de Westerse maatschappijen.

Recensie(s)
NBD|Biblion recensie
In deze uitstekend vertaalde, klassieke studie gaat de Franse politiek filosoof De Tocqueville (1805-1859) in op de ontwikkeling van de democratie in de Verenigde Staten. Het boek vormt de neerslag van een studiereis die hij zelf heeft gemaakt en in 1840 te boek gesteld. De thema's zijn echter breder en gaan over de politieke ontwikkeling van westerse naties. Behalve over politiek zelf gaan de beschrijvingen en analyses ook over de relatie van democratie met moraal, oorlog en vrede, verenigingswezen en pers, poezie, (de)centralisatie en andere thema's. Daarmee is dit boek, het wereldsucces van toen (vertaald in veertien talen), nu nog steeds 'de bijbel van de democratie'. Met zijn scherpzinnige analyses en vooruitziende blik laat De Tocqueville veel van de situatie toen zien. Maar zijn opvattingen hebben op veel onderdelen nog steeds actualiteitswaarde, zij het dat veel van de contexten natuurlijk zijn veranderd. Het boek bevat geen register. Deze uitgave bevat alleen het tweede deel, dat echter al min of meer een herziening van het eerste, al in 1835 verschenen deel vormde en dat afzonderlijk leesbaar is.

(NBD|Biblion recensie, Dr. G.H. Hagelstein)
  -Cicero- | Sep 25, 2011 |
geen besprekingen | voeg een bespreking toe

» Andere auteurs toevoegen (12 mogelijk)

AuteursnaamRolType auteurWerk?Status
Alexis de Tocquevilleprimaire auteuralle editiesberekend
Bowen, FrancisRedacteurprimaire auteursommige editiesbevestigd
Bradley, PhillipsRedacteurprimaire auteursommige editiesbevestigd
Bowen, FrancisRedacteurSecundaire auteursommige editiesbevestigd
Bradley, PhillipsRedacteurSecundaire auteursommige editiesbevestigd
Laski, Harold J.IntroductieSecundaire auteursommige editiesbevestigd
Lustig, AlvinOmslagontwerperSecundaire auteursommige editiesbevestigd
Reeve, HenryVertalerSecundaire auteursommige editiesbevestigd
Reeve, HenryVertalerSecundaire auteursommige editiesbevestigd
Je moet ingelogd zijn om Algemene Kennis te mogen bewerken.
Voor meer hulp zie de helppagina Algemene Kennis .
Gangbare titel
Oorspronkelijke titel
Alternatieve titels
Oorspronkelijk jaar van uitgave
Mensen/Personages
Belangrijke plaatsen
Belangrijke gebeurtenissen
Verwante films
Motto
Opdracht
Eerste woorden
Citaten
Informatie afkomstig uit de Franse Algemene Kennis. Bewerk om naar jouw taal over te brengen.
VUE GÉNÉRALE DU SUJETJe voudrais, avant de quitter pour jamais la carrière que je viens de parcourir, pouvoir embrasser d'un dernier regard tous les traits divers qui marquent la face du monde nouveau, et juger enfin de l'influence générale que doit exercer l'égalité sur le sort des hommes , mais la difficulté d'une pareille entreprise m'arrête , en présence d'un si grand objet, je sens ma vue qui se trouble et ma raison qui chancelle.Cette société nouvelle, que j'ai cherché à peindre et que je veux juger, ne fait que de naître. Le temps n'en a point encore arrêté la forme , la grande révolution qui l'a créée dure encore, et, dans ce qui arrive de nos jours, il est presque impossible de discerner ce qui doit passer avec la révolution elle-même, et ce qui doit rester après elle.Le monde qui s'élève est encore à moitié engagé sous les débris du monde qui tombe, et, au milieu de l'immense confusion que présentent les affaires humaines, nul ne saurait dire ce qui restera debout des vieilles institutions et des anciennes mœurs, et ce qui achèvera d'en disparaitre.Quoique la révolution qui s'opère dans l'état social, les lois, les idées, les sentiments des hommes, soit encore bien loin d'être terminée, déjà on ne saurait comparer ses œuvres avec rien de ce qui s'est vu précédemment dans le monde. Je remonte de siècle en siècle jusqu'à l'antiquité la plus reculée , je n'aperçois rien qui ressemble à ce qui est sous mes yeux. Le passé n'éclairant plus l'avenir, l'esprit marche dans les ténèbres.Cependant, au milieu de ce tableau si vaste, si nouveau, si confus, j'entrevois déjà quelques traits principaux qui se dessinent, et je les indique : Je vois que les biens et les maux se répartissent assez également dans le monde. Les grandes richesses disparaissent , le nombre des petites fortunes s'accroît , les désirs et les jouissances se multiplient , il n'y a plus de prospérités extraordinaires ni de misères irrémédiables. L'ambition est un sentiment universel, il y a peu d'ambitions vastes. Chaque individu est isolé et faible , la société est agile, prévoyante et forte , les particuliers font de petites choses, et l'État d'immenses.Les âmes ne sont pas énergiques , mais les mœurs sont douces et les législations humaines. S'il se rencontre peu de grands dévouements, de vertus très hautes, très brillantes et très pures, les habitudes sont rangées, la violence est rare, la cruauté presque inconnue. L'existence des hommes devient plus longue et leur propriété plus sûre. La vie n'est pas très ornée, mais très aisée et très paisible. Il y a peu de plaisirs très délicats et très grossiers, peu de politesses dans les manières et peu de brutalité dans les goûts. On ne rencontre guère d'hommes très savants ni de populations très ignorantes. Le génie devient plus rare et les lumières plus communes. L'esprit humain se développe par les petits efforts combinés de tous les hommes, et non par l'impulsion puissante de quelques-uns d'entre eux. Il y a moins de perfection, mais plus de fécondité dans les œuvres. Tous les liens de race, de classe, de patrie se détendent , le grand lien de l'humanité se resserre.Si parmi tous ces traits divers, je cherche celui qui me parait le plus général et le plus frappant, j'arrive à voir que ce qui se remarque dans les fortunes se représente sous mille autres formes. Presque tous les extrêmes s'adoucissent et s'émoussent , presque tous les points saillants s'effacent pour faire place à quelque chose de moyen, qui est tout à la fois moins haut et moins bas, moins brillant et moins obscur que ce qui se voyait dans le monde.Je promène mes regards sur cette foule innombrable composée d'êtres pareils, où rien ne s'élève ni ne s'abaisse. Le spectacle de cette uniformité universelle m'attriste et me glace, et je suis tenté de regretter la société qui n'est plus.Lorsque le monde était rempli d'hommes très grands et très petits, très riches et très pauvres, très savants et très ignorants, je détournais mes regards des seconds pour ne les attacher que sur les premiers, et ceux-ci réjouissaient ma vue , mais je comprends que ce plaisir naissait de ma faiblesse : c'est parce que je ne puis voir en même temps tout ce qui m'environne qu'il m'est permis de choisir ainsi et de mettre à part, parmi tant d'objets, ceux qu'il me plait de contempler. Il n'en est pas de même de l'Être tout-puissant et éternel, dont l'œil enveloppe nécessairement l'ensemble des choses, et qui voit distinctement, bien qu'à la fois, tout le genre humain et chaque homme.Il est naturel de croire que ce qui satisfait le plus les regards de ce créateur et de ce conservateur des hommes, ce n'est point la prospérité singulière de quelques-uns, mais le plus grand bien-être de tous : ce qui me semble une décadence est donc à ses yeux un progrès , ce qui me blesse lui agrée. L'égalité est moins élevée peut-être , mais elle est plus juste, et sa justice fait sa grandeur et sa beauté.Je m'efforce de pénétrer dans ce point de vue de Dieu, et c'est de là que je cherche à considérer et à juger les choses humaines. Personne sur la terre ne peut encore affirmer d’une manière absolue et générale que l’état nouveau des sociétés soit supérieur à l'état ancien , mais il est déjà aisé de voir qu'il est autre.Il y a de certains vices et de certaines vertus qui étaient attachés à la constitution des nations aristocratiques, et qui sont tellement contraires au génie des peuples nouveaux qu'on ne saurait les introduire dans leur sein. Il y a de bons penchants et de mauvais instincts qui étaient étrangers aux premiers et qui sont naturels aux seconds , des idées qui se présentent d'elles-mêmes à l'imagination des uns et que l'esprit des autres rejette. Ce sont comme deux humanités distinctes, dont chacune a ses avantages et ses inconvénients particuliers, ses biens et ses maux qui lui sont propres.Il faut donc bien prendre garde de juger les sociétés qui naissent avec les idées qu'on a puisées dans celles qui ne sont plus. Cela serait injuste, car ces sociétés, différant prodigieusement entre elles, sont incomparables.Il ne serait guère plus raisonnable de demander aux hommes de notre temps les vertus particulières qui découlaient de l'état social de leurs ancêtres, puisque cet état social lui-même est tombé, et qu'il a entraîné confusément dans sa chute tous les biens et tous les maux qu'il portait avec lui.Mais ces choses sont encore mal comprises de nos jours.J'aperçois un grand nombre de mes contemporains qui entreprennent de faire un choix entre les institutions, les opinions, les idées qui naissaient de la constitution aristocratique de l'ancienne société , ils abandonneraient volontiers les unes, mais ils voudraient retenir les autres et les transporter avec eux dans le monde nouveau.Je pense que ceux-là consument leur temps et leurs forces dans un travail honnête et stérile.Il ne s'agit plus de retenir les avantages particuliers que l'inégalité des conditions procure aux hommes, mais d’assurer les biens nouveaux que l’égalité peut leur offrir.Nous ne devons pas tendre à nous rendre semblables à nos pères, mais nous efforcer d'atteindre l'espèce de grandeur et de bonheur qui nous est propre.Pour moi qui, parvenu à ce dernier terme de ma course, découvre de loin, mais à la fois, tous les objets divers que j'avais contemplés à part en marchant, je me sens plein de craintes et plein d'espérances. Je vois de grands périls qu'il est possible de conjurer , de grands maux qu'on peut éviter ou restreindre, et je m'affermis de plus en plus dans cette croyance que, pour être honnêtes et prospères, il suffit encore aux nations démocratiques de le vouloir.Je n'ignore pas que plusieurs de mes contemporains ont pensé que les peuples ne sont jamais ici-bas maîtres d'eux-mêmes, et qu'ils obéissent nécessairement à je ne sais quelle force insurmontable et inintelligente qui nait des événements antérieurs, de la race, du sol ou du climat.Ce sont là de fausses et lâches doctrines, qui ne sauraient jamais produire que des hommes faibles et des nations pusillanimes : la Providence n'a créé le genre humain ni entièrement indépendant, ni tout à fait esclave. Elle trace, il est vrai, autour de chaque homme, un cercle fatal dont il ne peut sortir , mais, dans ses vastes limites, l'homme est puissant et libre , ainsi des peuples.Les nations de nos jours ne sauraient faire que dans leur sein les conditions ne soient pas égales , mais il dépend d'elles que l'égalité les conduise à la servitude ou à la liberté, aux lumières ou à la barbarie, à la prospérité ou aux misères.p. 451 - 455
La démocratie détend les liens sociaux, mais elle resserre les liens naturels.Elle rapproche les parents dans le même temps qu'elle sépare les citoyens. p. 273
Laatste woorden
Ontwarringsbericht
Uitgevers redacteuren
Auteur van flaptekst/aanprijzing
Oorspronkelijke taal
Gangbare DDC/MDS
Canonieke LCC

Verwijzingen naar dit werk in externe bronnen.

Wikipedia in het Engels

Geen

Over the course of nine months in 1831 Alexis de Tocqueville, a French political thinker, and accompanied by Gustave de Beaumont, travelled the United States under the pretext of studying the American prison system. Over the course of his travels, Tocqueville also studied American society, religion, politics, and economics, undertaking what would become one of the most comprehensive studies to that time of the practice of democracy in the United States. Democracy in America: Volume II continues Tocqueville's exploration of the nature of democracy in the United States, including an analysis of American civil society. Democracy in America was published in two volumes in 1835 and 1840, and is today considered one of the foundational works of political science. HarperTorch brings great works of non-fiction and the dramatic arts to life in digital format, upholding the highest standards in ebook production and celebrating reading in all its forms. Look for more titles in the HarperTorch collection to build your digital library.

Geen bibliotheekbeschrijvingen gevonden.

Boekbeschrijving
Haiku samenvatting

Actuele discussies

Geen

Populaire omslagen

Snelkoppelingen

Waardering

Gemiddelde: (3.97)
0.5 1
1 1
1.5 1
2 2
2.5
3 8
3.5 3
4 16
4.5 2
5 20

Ben jij dit?

Word een LibraryThing Auteur.

 

Over | Contact | LibraryThing.com | Privacy/Voorwaarden | Help/Veelgestelde vragen | Blog | Winkel | APIs | TinyCat | Nagelaten Bibliotheken | Vroege Recensenten | Algemene kennis | 206,308,977 boeken! | Bovenbalk: Altijd zichtbaar