Another Balzac short and my entry into the wider universe of characters as I believe both Bianchon and Desplein reappear in many other stories. At first La Messe de l’athée seems like it's going to be an hoary story of hypocrisy along the lines of the old saying that there's no atheists in foxholes, but as it goes along what actually emerges is a surprising and quite touching story of solidarity in the face of adversity and a friendship so strong that it overcomes even the strongest scruples of morality and differing belief. For a writer as aristocratic and as cynical as Balzac has a reputation for being it was interesting to see a story so concerned with the struggles of the downtrodden as this - really liked it. ( )

Visionarios y apasionados son los tres relatos que aquí se presentan. La misa del ateo es una de las más conmovedoras narraciones de Balzac, en la que, con magistral emoción, retrata la generosidad de los sentimientos humanos. En El elixir de la larga vida nos deleita con una sorprendente versión de la historia de Don Juan y sus infiernos. Completa el volumen La obra maestra desconocida, una fábula sobre la búsqueda de la perfección en el arte, cuya altura narrativa la convierte en un texto inolvidable.

Un des étudiants du célèbre chirurgien Desplein découvre un secret -- du moins, c’est ce qu’il croit: Desplein, athée dévoué, visite une église catholique tous les trois mois pour y écouter une messe. Quand l’étudiant finalement lui demande pourquoi (après avoir surveillé son maître pendant un an!), l’explication de Desplein montre qu’il n’y a aucune contradiction entre ses principes et son comportement.

Pas mal. De Balzac dessine le portrait d’un athée sympathique et consciencieux. Le dénouement concerne une seule question assez simple -- est-ce qu’un athée peut respecter la foi d’autrui? -- avec une réponse parfaitement évidente. La simplicité de cette nouvelle et son caractère tout à fait 19ième siècle concordent très bien avec son “mystère” central qui se concerne également avec des angoisses de cette époque. Une charmante petite histoire.

Il paraît que cette nouvelle a été écrite durant une seule nuit; cela explique peut-être la seule partie de l’intrigue que je trouve difficile à accepter: que l’étudiant observe son maître durant un an pour une chose qui n’est guère un mystère et que le chirurgien lui explique volontiers. ( )