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Angélique Allain (Holod)

Auteur van Arrête-toi Un Instant

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Werken van Angélique Allain (Holod)

Arrête-toi Un Instant (2006) 1 exemplaar
Des ires de femme (2007) 1 exemplaar

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Angélique Allain est née en décembre 1973, à Fumel, dans le Lot-et-Garonne. Son premier poème est né de ses doigts de 11 ans suite au décès d'un être cher.

Elle a toujours utilisé les rimes pour exprimer ses sentiments et ressentiments. Aujourd'hui encore, elle se dit bien plus douée pour écrire que pour dire. Après des études en para-médical et son BAC F8 en poche, elle a erré d'emplois en emplois jusqu'à ce qu'elle passe un concours dans la fonction publique à l'âge de 20 ans.

C'est avec l'insistance de son entourage qu'elle s'est décidée à faire le grand saut en publiant ce premier recueil de poèmes : « Arrête-toi un instant ».
… (meer)
 
Gemarkeerd
millepoetes | Feb 21, 2008 |
PRÉFACE :

Elle est cette brune d'Agen, qui après vingt années, est partie pour la capitale avant la Normandie et prévoit de s'enfuir encore ailleurs ; c'est un oiseau migrateur qu'Angélique, se nourrissant de l'espace où elle vit, et si la nourriture du terroir est belle, son chant se développe.

Et quelquefois, elle ferme les yeux se frappant le regard intérieur sur une enfance qui ne se rêve pas, non, qui ne s'oublie pas, ne se cite pas, ne peut guère s'écrire tant qu'elle est gravée sur chair, pourtant elle chante notre oiselle, comme une ode unique modulée, comme on loue le Seigneur, celui de la vie, celui de l'amour, mais aussi celui qui doit avoir le regard de la Justice.

Fière dans le désir comme en tout, « Une larme toujours ravalée/Ma route sera toujours jonchée/D'un tas d'images à colorer. », elle s'avance encore mot après mot, désert à contretemps, qu'elle cherche à peindre. Et la prière qu'elle développe sur la durée de ce recueil, c'est en s'ancrant sur le réel, celui de son rêve devant se joindre à celui de son sang, et comment dire si bien que dans l'espace entre les mots « J'ai bien opté pour le silence », voilà qu'elle se délivre en partant au profond d'elle, car aussi tout en elle est profond d'aimer, et celle aile qui bat est la norme de base pour un oiseau poète qui n'a pas besoin de plus pour s'envoler par le chant, qui « n'a jamais posé genoux à terre/N'a pas non plus fermé les yeux ».

Elle pose en « Je », sur les multiples, les sentiments pensant en force dans un futur antique le naufrage définitif, naufrage qu'elle repousse avec les mots, et surtout avec les mots d'amour, fuyant comme moi un passé où cendres ont laissé peu de mirages, elle, contrairement à moi, pose ses traits de cendres sur des feuilles d'or, cela masque la lumière direz-vous, or c'est l'effet inverse, elle maquille l'or avec ses mots, déposant la cendre grain à grain, masquant les irrégularités de l'or, arrangeant le vide entre les atomes, définissant un réel qui la pose en famille, qui la pose en couple, qui la pose en citoyenne, qui la pose en femme, en fille, en manque comme en plein, et cela sans plainte autre que le chant de l'oiseau qui parerait ses plumes de mots.

Le monde lui convient-il ? Est-il autre que celui de son enfance ? Non rien ne change, toujours la violence des mots qu'on prend sans les vouloir. Le monde d'Angélique est pur mais trouble, ambivalent car humain et exalté, rien ne sort, rien ne disparait, tout se reproduit, tout revient, la seule chose qui peut changer c'est la dose d'amour qui vient de soi, d'elle, il n'y a que ça qui peut dorer un peu une réalité tant grise.

Tous ses textes sont vifs, oui pleins de cette vie qu'elle possède en propre, plein de cet amour pour les siens, et pour l'humain. Tous ses mots sont intuitivement vrais, accentuant le trait de quelques éléments fondamentaux du monde. Il y a de la relation dans la narration, tout se relie car tout, donne envie de relire.

Que poser encore dans cette préface que l'envie et le désir, l'envie d'en savoir plus ? J’attendrai avec intérêt l'entrevue qui aura lieu après la parution de ce recueil ; le désir, c'est celui de la voir vivre en poésie encore longtemps, car le temps bonifie toujours les bonnes choses, et j'ai hâte d'en voir encore plus.

Excusez mon impatience, excuse-la Angie, mais entendre ta poésie cause certains effets, tout est né du Charme, délicate magie que maitrise les poètes vrais.

Merci.

Patrick DUQUOC dit « Pant »
auteur, poète
… (meer)
 
Gemarkeerd
millepoetes | Feb 12, 2008 |

Statistieken

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2
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2
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Waardering
5.0
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