Afbeelding van de auteur.

Lucien Lévy-BruhlBesprekingen

Auteur van Alma Primitiva

19 Werken 222 Leden 8 Besprekingen

Besprekingen

Engels (3)  Catalaans (2)  Spaans (2)  Frans (1)  Alle talen (8)
Toon 8 van 8
 
Gemarkeerd
Murtra | 2 andere besprekingen | May 31, 2021 |
 
Gemarkeerd
Murtra | 2 andere besprekingen | Oct 11, 2020 |
LA MYTHOLOGIE PRIMITIVE:LE MONDE MYTHIQUE DES AUSTRALIENS ET DES PAPONS

Introduction

I - Caractères propres aux mythes primitifs
II - Leur nature fragmentaire, incoordonnée, parfois contradictoire.
III - Raisons de leur manque de cohésion logique.
IV - Fonctions vitales des mythes sacrés et secrets.
V Le mythe et le rêve : sens de altjira, ungud, bugari, etc. ; les deux sens de dema.
VI - Sens de kugi, uaropo, soimi (Nouvelle-Guinée hollandaise).
VII - Les peintures rupestres du N.-O. de l'Australie.
VIII - Interprétation des mythes selon M. Wirz. Discussion.

I - Caractères propres aux mythes primitifs

Afin d'éviter le reproche de n'avoir pas fait ce que je n'ai pas prétendu faire, afin de prévenir, s'il se peut, des malentendus presque impossibles à dissiper, une fois produits, j'essaierai de définir sans ambiguïté l'objet du présent ouvrage. Il se propose d'étudier, sur un certain nombre de spécimens choisis, les mythes de sociétés dites primitives (surtout d’Australie et de Nouvelle-Guinée), non pas du point de vue de l'histoire des religions ni de la sociologie prise stricto sensu, mais seulement dans leur relation avec la nature et l'orientation constante de la mentalité propre aux « primitifs ».
Peut-être cette recherche aidera-t-elle à mieux comprendre les caractères essentiels de ces mythes, et leurs fonctions dans la vie sociale de ces tribus.

Ainsi conçu, le travail ne pouvait être abordé de plain-pied. Ne fallait-il pas, au préalable, s'assurer si notre notion du mythe, avec ce qu'elle implique, vaut aussi pour ceux des sociétés primitives ? Déjà, dans les ouvrages précédents, une précaution semblable s'était imposée. J'avais dû commencer par rechercher ce qui, dans ces esprits, correspond plus ou moins exactement à ce que nous appelons « cause », « âme », «surnaturel », etc. Questions préjudicielles qu'il était nécessaire d'élucider d'abord, dès que je n'admettais plus implicitement, comme on le fait d'ordinaire, que les « primitifs » conçoivent ces notions comme nous, et les expriment par des termes qui recouvrent les nôtres.

De même, je ne saurais prendre ici pour accordé, et comme allant de soi, que notre idée du mythe est aussi celle qu'en ont les Australiens et les Papous. Faute d'une enquête préliminaire sur ce point, des confusions seraient inévitables, et les conclusions d'une étude sur les mythes des primitifs resteraient pour le moins aventurées.

Non que je ferme les yeux aux raisons évidentes qui ont fait désigner par le même nom les mythes primitifs et ceux que nous ont rendus familiers les littératures et les arts de l'antiquité. J'admire, comme Andrew Lang, la perspicacité de Fontenelle, qui a su en démêler les traits communs, et en faire ressortir les ressemblances, frappantes sur tant de points. Ses remarques pénétrantes et ses suggestions à ce sujet méritaient d'être retenues.
 
Gemarkeerd
FundacionRosacruz | Jan 3, 2018 |
Jean Jaurès, Esquisse biographique

Peut-on parler d’une véritable biographie ? Non, l’auteur y voit lui-même un portrait sous forme de « crayons ». Il est vrai que la version originale est un long article paru dans l’Annuaire de l’Ecole Normale Supérieure, s’appuyant sur différents récits récoltés auprès de proches de Jean Jaurès. Cet article fut d’abord publié en 1915-1916. Ce n’est qu’en 1924, le livre épuisé, que les édition Rieder se proposent de le réédité.

Cinq parties de qualité honorable pour peindre le portrait de l’homme, du député et journaliste, du penseur et de l’homme d’action. Il est d’ailleurs remarquable que les chercheurs se soient si largement appuyés sur ce texte d’une élégance de style notable mais qui, sans dresser une hagiographie, n’est pas neutre. Aucune formule ou jugement négatif.

On appréciera les lettres à son ami Charles Salomon en fin d’ouvrage. On regrettera l’absence de notes en bas de page et autres éléments critiques ou renvois dans le texte ou en fin d’ouvrage.

Dans l’ensemble, ce petit ouvrage, fondamental pour l’écriture du roman jaurésien, n’est pas exceptionnel. En revanche, il est remarquable de constater que les principaux éléments de la vie personnelle de Jaurès soient ici présentés par ses contemporains et que ce sont ces morceaux de texte qui vont bâtir les principales sources pour les biographies françaises de la vie de Jaurès.½
 
Gemarkeerd
T.VALERO | Sep 6, 2016 |
La teoria del "prelogismo" dei "primitivi" elaborata da Lucien Lévy-Bruhl (1857 - 1939) si pone in totale distacco rispetto alle teorizzazioni dell'evoluzionismo e si colloca, invece, in una dimensione di consapevole e radicale relativismo culturale.
Per Lévy-Bruhl il contesto etnologico si configura come totalmente altro rispetto all'Occidente. In base alla teoria del "prelogismo", i primitivi sarebbero caratterizzati da una struttura psichica in cui non vige il principio di non contraddizione, e in virtù della quale la loro mentalità, il rapporto soggetto/mondo, il rapporto naturale/sovrannaturale, sono differenti dai nostri. Per Lévy-Bruhl è dunque metodologicamente sbagliato utilizzare le rappresentazioni collettive dell'uomo occidentale per interpretare sistemi logico-culturali affatto diversi. Al contrario, rifiutando l'impostazione eurocentrica, "l'attività mentale dei primitivi non sarà più interpretata in partenza come una forma rudimentale della nostra, come infantile e quasi patologica. Apparirà anzi come normale nelle condizioni in cui essa si esercita, come complessa e, a suo modo, sviluppata.
La teoria del prelogismo costituisce il filo rosso che lega le maggiori opere di Lévy-Bruhl, da Les fonctions mentales dans les sociétés inférieurs a La mentalité primitive, fino a Le surnaturel et la nature dans la mentalité primitive.
Le rappresentazioni collettive dei primitivi - a differenza di quelle dell'uomo culto occidentale, dominate dal principio dell'identità personale rigorosamente distinta dalle altre individualità e dal mondo fisico -, sono dominate dal concetto di labilità, di fluidità, e hanno alla base quella che Lévy-Bruhl definisce "legge di partecipazione". Secondo tale legge, lo stato mentale dei primitivi è caratterizzato da un'estrema intensità emozionale che induce ad una costante partecipazione mistica con l'universo. Il primitivo "sente" ciò che lo circonda come attraversato da una forza numinosa fluida, fisica e psichica. I confini che nel nostro mondo isolano nettamente l'uomo dall'ambiente esterno, la natura dalle forze soprannaturali, lo stato di veglia dallo stato di sogno, nel mondo primitivo sono estremamente labili o inesistenti. Dunque la mentalità primitiva, più che rappresentare l'oggetto, lo vive e ne è posseduta.
Parimenti la personalità è rappresentata come energia, qualitativamente identica a quella che promana dagli animali, dalle piante e dalle cose, e i suoi limiti, nella mentalità collettiva, sono labili, tanto che l'identità personale non è incompatibile con la dualità o la pluralità delle persone. Spesso le esperienze di compartecipazione mistica del primitivo, largamente documentate da Lévy-Bruhl, si riflettono nei miti. Nelle rappresentazioni collettive dei primitivi che fanno da sfondo all'esperienza reale, c'è fluidità anche tra il piano sacro e il piano "profano". La sovrapposizione dei due piani rappresenta la norma. Non solo: il piano sovrumano finisce per calamitare interamente l'anima e la mente degli uomini. Le forze soprannaturali cingono in un perenne stato d'assedio l'esistenza umana e ciò fa in modo che la religiosità dei primitivi sia di stampo totalmente mistico, mentre le operazioni magiche hanno lo scopo di mediare la sfera delle potenze occulte.
Di fatto, come osserva Marcello Massenzio, nella visione che Lucien Lévy-Bruhl ha del mondo dei "primitivi", l'uomo come soggetto di cultura finisce per sparire del tutto, poiché i margini di intervento culturale sulla natura sono completamente annullati.
L'ambiente scientifico del tempo, caratterizzato da un'impostazione razionalistica di tradizione illuministica, reagì molto negativamente alla proposta teorica di Lévy-Bruhl. Émile Durkheim, sostenitore dell'unità dello spirito umano e della sua omogeneità in tutte le epoche, evidenziò come nella vita quotidiana i primitivi applicassero una razionalità pratica del tutto simile a quella che governa le azioni di tutti gli uomini della terra. La forza delle argomentazioni indusse col tempo Lévy-Bruhl a recedere dalle sue posizioni più estreme, e a rivedere completamente le sue precedenti teorie, come si constatò dopo la sua morte, in una serie di quaderni che contenevano gli appunti dello studioso stesi nell'ultimo periodo della sua vita, i Carnets, pubblicati postumi nel 1949.
 
Gemarkeerd
vecchiopoggi | 1 andere bespreking | Mar 25, 2016 |
Los editores engañan aquí, porque presentan este libro como un libro sobre la prehistoria, cuando, en realidad, es un ensayo de antropología comparada. Levy-Bruhl es el prototipo de antropólogo de gabinete, que utiliza los relatos de otros, principalmente de misioneros y exploradores de las dos primeras décadas del siglo XX, y a veces anteriores, de todo el mundo (aunque predomina Oceanía), para elaborar sus teorías. Y no están mal vistas. Así, empieza poniéndose en guardia permanente respecto de lo que los "primitivos" realmente quisieron decir, teniendo en cuenta no sólo que sus palabras debieron ser traducidas por los informantes, que generalmente también las adaptaban a su mentalidad, sino también que los indígenas pudieron estar condicionados por el afán de agradar a sus huéspedes, o de quitárselos de encima. Pero, sobre todo, hace un sincero esfuerzo por colocarse en el lugar del "primitivo", asumiendo incluso que hay cosas para las que no tienen explicación: son guerreros o agricultores, no teólogos. Y así, nos insiste en que nos libremos de nuestros esquemas mentales para asumir que, en el mundo "primitivo" la personalidad no es necesariamente individual. Que, para ellos, uno es uno, pero es a la vez parte intrínseca de un grupo, se identifica con sus cosas, se duplica en un animal o en otro hombre, e incluso se prolonga más allá de la muerte corporal de forma que realmente es ese duplicado o prolongación, sin dejar de ser lo que nosotros entendemos por "yo". Soy yo, pero también soy ese lobo; estoy muerto, pero sigo actuando, al menos durante un tiempo. Por cierto, esto último me ha recoradado mucho el personaje de Pessoa en "El año de la muerte de Ricardo Reis" de Saramago, que está muerto, pero todavía es visible durante un tiempo, sin llegar tampoco a ser un fantasma; es exactamente lo que los "primitivos" de este libro quieren decir.
 
Gemarkeerd
caflores | 2 andere besprekingen | Sep 13, 2011 |
 
Gemarkeerd
luvucenanzo06 | Aug 20, 2023 |
 
Gemarkeerd
Vojta_V. | 1 andere bespreking | Apr 9, 2012 |
Toon 8 van 8