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> O’Neill-Karch, M. (1994). Review of [Larry Tremblay, Le Crâne des théâtres. Essais sur les corps de l’acteur, Montréal, Éditions Leméac, 1993, 135 pages].
In: Liaison, (75), 35–35.

> « Toute formation d’acteur repose sur une pédagogie de l’altérité : prendre
conscience du moi pour faire apparaître ce qu’il n’est pas : l’autre.
»
—Larry Tremblay, Le crâne des théâtres, Leméac, 1993.

> LE CRÂNE DES THÉÂTRES, Essais sur le corps de l'acteur, de Larry Tremblay (Lemeac, 1993. 135 p.). — Dans le domaine du théâtre, la pratique est souvent plus répandue que la réflexion théorique. Larry Tremblay est comédien et dramaturge, et enseignant à l’Université du Québec à Montréal ; il vient nourrir la pensée théorique avec des écrits, qui ont pour principal objet le corps de l’acteur. Le crâne des théâtres rassemble des textes à caractère essentiellement pédagogique qui ont paru dans des revues ou ont été prononcés lors de colloques sur le théâtre ou la danse.
Larry Tremblay a une formation en kathakali, ce théâtre dansé originaire du sud de l'Inde ; sa réflexion est donc naturellement traversée d'influences orientales. « Corps, signes, codes » résume en un chapitre les principales caractéristiques du kathakali : le maquillage, le costume, la mimique, la gestuelle et les mudras, ces signes du langage codé des doigts de la main. Dans « Corps, analyse, synthèse », il décrit le processus de formation par lequel les élèves de kathakali arrivent à la maîtrise de leur art. Le chapitre intitulé « Peau, chair et os » examine des notions transmises par le maître du nô au XIV' siècle, Zeami, auteur de La tradition secrète du nô, qui associait à chacune de ces zones du corps, un style particulier de jeu.
Mais Larry Tremblay visite aussi les théoriciens du théâtre occidental. Comme François Delsarte, qui avait composé au siècle dernier une topographie très minutieuse du corps humain, dénombrant les parties du corps et les mouvements propres à chacune. L’essai comporte aussi l’examen de différentes conceptions du rapport qui existe, pour l’acteur, entre l’émotion et l’action : les théories de Craig, de Meyerhold, de Stanislawski, de Grotowski ou du kathakali.
En somme, Larry Tremblay sert de trait d'union entre deux conceptions du corps, l’occidentale et l’orientale, qu’il contribue à rapprocher, pour une meilleure pratique théâtrale. —Philip WICKHAM
In: (1994). Compte rendu de [Essais québécois]. Nuit blanche, (56), 68–72.
 
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Joop-le-philosophe | Dec 14, 2022 |
> Par K. Moussou, P. Frey, O. de Lamberterie (Elle) : Les 39 meilleurs livre de poche du moment
6 juin 2018 - C’est l’histoire de l’enfance sacrifiée sur l’autel de la guerre et du fanatisme. Celle d’Amed et Aziz, des frères jumeaux unis comme l’endroit et l’envers d’une même âme, entre lesquels leurs parents vont devoir choisir. Larry Tremblay donne à l’actualité brûlante les atours d’une tragédie antique et nous bouleverse avec ce roman tout en concision et en épure. Une gifle.
Jeanne de Menibus

> Une petite bombe, un livre dont les déflagrations ne sont pas prêtes de nous quitter () Larry Tremblay nous emporte, sans pathos aucun au coeur d'une étonnante tragédie antique.
L'Express styles, 25 mars 2015

> Une écriture juste et poétique. Exceptionnel, "L'Orangeraie" fait partie de ces quelques livres que l'on n'oublie pas.
Librairie Cheminant

> L'auteur réussit le coup de génie de nous raconter cette histoire tragique et cruelle par une écriture belle et poétique. Un contraste saisissant qui donne de la puissance et surtout beaucoup d'émotion à cette oeuvre. Coup de coeur.
Radio Coteaux, 28 mars 2015
 
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Joop-le-philosophe | 2 andere besprekingen | Jan 8, 2019 |
Beautifully written and filled with gorgeous descriptions, powerful symbolism, and devastation.
 
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bucketofrhymes | 2 andere besprekingen | Dec 13, 2017 |
En 75-100 mots, pourquoi avez-vous choisi ce livre ? S’agit-il d’une lecture de loisir, obligatoire, suggérée ?
C’est dans le cadre du cours Le livre, la lecture et l’édition que j’ai lu le livre L’impureté de Larry Tremblay. Cette œuvre m’avait été recommandée par une collègue de travail et était également suggérée par la revue Les libraires. Cependant, ce sont les louanges faites à L’orangeraie, livre du même auteur, (que je n’ai pas encore eu la chance de lire) qui ont suscité mon envie de découvrir l’univers de Larry Tremblay.
Alors que le choix de la lecture me revenait, le support de lecture lui m’a été imposé. C’est ainsi que j’en suis venue à lire ce roman sur support numérique. Il est certain que le médium a influencé mon appréciation de l’expérience de lecture.

En 75-100 mots, un aspect qui vous a plu :
Il est gênant de dire que l’aspect qui m’a davantage plu est la fin du roman. La finale m’a sciée en deux. Larry Tremblay s’est joué de moi. Je n’avais pas vu venir ce dessein et je dois avouer que malgré sa dureté, cette finale a changé l’opinion que je me faisais du roman. La mise en abyme, parler d’un roman dans un roman, est faite de main de maître. Non seulement, Larry Tremblay parle d’un livre dans un livre, mais également il propose des références fort intéressantes à la littérature (Simone De Beauvoir, Sartre, etc.), à la culture populaire (Nirvana) et moins populaire (Thich Quang Duc). Je termine ce roman en ayant l’envie de le rouvrir pour mieux lire les pistes que l’auteur a semées au travers des nombreuses citations.

En 75-100 mots, un aspect qui vous a moins plu :
Malheureusement, j’ai parfois eu le désir que le roman se termine. Probablement en grande partie parce que je lisais ce roman sur un médium que je n’apprécie pas vraiment (ordinateur), mais aussi parce qu’il y a des longueurs. Les longs dialogues entre les personnages semblent parfois interminables.
De plus, je recommande fortement de lire ce roman en format papier. L’absence de l’objet livre se faisant sentir dès la dernière ligne du premier chapitre : « Puis, il ouvre L’Impureté ». Je me suis trouvée impuissante et déçue de ne pouvoir ouvrir le livre.

En 225-250 mots, l’objet numérique : (ici, vous devez faire l’analyse des attributs et des fonctions liés à la lecture en format numérique, selon leur pertinence, voire leur absence :

a. Fonctions liées à l’affichage et à l’annotation
Je dois avouer que ce n’est qu’après la lecture que j’ai constaté l’étendu des fonctions disponibles sur Overdrive. La lecture d’un livre est figée, donc lire un livre numérique demande un certain apprentissage. En effet, je n’ai pas eu le réflexe de modifier les caractéristiques du document alors que j’avais cette possibilité. Overdrive permet, entre autres, de choisir si l’on désire l’animation des pages tel un roman papier ou sans effet. De plus, il est possible de changer la police de caractère, la taille, l’espacement des lignes, la couleur de fond et j’en passe. Pour ma part, j’ai préféré conserver les caractéristiques par défaut, car ceci me permettait de mieux respecter les choix fait par l’auteur et l’éditeur.

Également, à défaut de constater notre progression grâce aux pages restantes dans notre main droite, Overdrive affiche un pourcentage de lecture. De plus, tel un livre, il est possible d'appliquer un signet. Ceci permet au lecteur de retrouver facilement l’endroit où sa lecture a pris fin.

Je n’ai pas été en mesure de trouver une fonction me permettant d’annoter le texte ou de surligner. L’utilité dans la mesure où je lisais un roman est moindre, mais cette fonctionnalité pourrait être précieuse lors de la lecture d’un document pour des fins professionnelles ou académiques.

b. Fonctions hypertextuelles
L’impureté fait référence à de nombreux auteurs, de nombreuses personnalités et de nombreuses œuvres. Alors que certaines références font parties de mon patrimoine culturelle d’autres m’étaient totalement inconnues. Overdrive offre un dictionnaire qui permet notamment de définir des termes, mais également de faire des recherches dans Wikipédia et Google. Cette option peut être pratique dans la mesure où certains sujets nous sont inconnus, mais elle nécessite alors plusieurs manipulations. Des renvois hypertextuels situé directement dans le texte aurait facilité la recherche, mais aurait assurément nuit à la linéarité de la lecture.

La navigation dans l’application Overdrive est assez minime. Le lecteur peut naviguer dans les différents chapitres, sans plus. C’est la fonction dictionnaire qui nous permet la plus grande navigation, mais cette dernière se fait alors sur le net et non plus dans l’interface de lecture du roman.½
 
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Noemie6344a16 | Oct 13, 2016 |
Ebbs and flows, and then builds to a twisty climax. Also a book with something original to say.
 
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charlie68 | 2 andere besprekingen | Sep 5, 2015 |
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