I suspect the older the reader, the more they will get out of this book. Although it has some awkwardness due to being a translation, it presents an excellent message. ( )

Marie De Hennezel's The Art of Growing Old is a fascinating book geared towards older individuals. Much of the author's descriptions address how people can age gracefully. She doesn't refrain from giving the good and bad experiences of growing older. It's a work that challenges the beliefs that old age is mostly depressing and unhappy. It aims to build a reader's confidence that there's also joy and the growth of wisdom with older folk. True, as people age their bodies become less strong, but many continue to have sharp minds. Some describe their senior lives as opening new experiences to enjoy their freedom more fully. Through this reality, there's time to embrace nature, friends, and the environment with a renewed appreciation. These gifts lead many of the older generation to fully embrace life and prepare for a happy death. ( )

> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Hennezel-La-chaleur-du-coeur-empeche-nos-corps-de...

> LA CHALEUR DU COEUR EMPÊCHE NOS CORPS DE ROUILLER, Vieillir sans être vieux, par Marie de Hennezel, Editions Robert Laffont - 19 €, 252 pages. — Ce livre précieux s'adresse aux baby boomers de l'après-guerre, dont l'auteur fait partie. Le sexagénaire nouveau est arrivé, celui qui, d'ores et déjà, a gagné une quinzaine d'années d'espérance de vie sur ses grands-parents.
Il incombe maintenant à l'ancien lanceur de pavés de 68 de révolutionner le vieillir, de retourner voir du côté des sagesses orientales qu'il a importées et dont il a fait grand usage, d'apprendre à entrer dans une dimension d'amour et d'émerveillement ("la nouveauté lorsqu'on est devenu vieux, vient toujours de l'intérieur"), de retrouver l'enfant en lui sans tomber dans l'infantilisme, et, en s'allégeant, d'apprendre à ne pas peser sur son entourage. Marie de Hennezel évoque ces vieux qui n'ont pas su aller au devant d'eux-mêmes, qui ont refusé de rencontrer leurs ombres. De ceux aussi, victimes du "jeunisme" ambiant, qui ont peur de la mort parce qu'ils ne savent pas très bien pourquoi ils ont vécu… Or, ceux qui redoutent de voir les choses en face passent à côté de la vie, et ne l'aiment pas vraiment.
Vieillir sagement s'apprend ; Marie de Hennezel donne des exemples merveilleux et d'indispensables clés. Le temps linéaire, tel que le vivent les sociétés " modernes ", est anxiogène. Le temps cyclique, vécu comme tel dans les cultures traditionnelles, est psychologiquement nourrissant et réparateur. Nous pouvons nous en inspirer pour comprendre que quelque chose en nous ne vieillit pas, qu'après notre départ se poursuivra la vie, les saisons, l'alternance des commencements et des fins. "La transformation qui accompagne la dernière trajectoire est un accomplissement" écrit M. de Hennezel. Elle passe en revue les difficultés à affronter, mais aussi les joies et les plaisirs que l'on peut trouver lorsqu'on a accepté de faire une sorte de " travail de deuil " de ce que l'on ne peut plus faire, en évitant de passer, autant que possible, par les cases "plaintes".
Laissant derrière elle l'aspect physique, c'est alors que peut prendre place " la beauté émotionnelle ". Les pratiquants de yoga seront particulièrement réceptifs à ce message, et préparés déjà à en faire leur miel. (Françoise BLÉVOT)
—Infos Yoga, (67), Mai 2008, (pp. 42-43)

> Psychologue, psychothérapeute, puis chargée de mission au ministère de la Santé, Marie de Hennezel s'est intéressée au problème de la vieillesse, à la sexualité des personnes âgées par la pratique du "Tao et l'art d'aimer", à l'accompagnement en fin de vie (on peut regretter l'absence de référence à Elisabeth Kübler-Ross pourtant mondialement connue), au droit de mourir dignement quand la maladie est insupportable ou même seulement quand la vieillesse en tant que telle est insupportable. Son travail est très intéressant et devrait permettre de faire réfléchir les pouvoirs publics sur l'euthanasie. Elle a publié aussi La Mort intime, L'Art de mourir, Nous ne nous sommes pas dit au revoir. (Revue Shakti)

I suspect the older the reader, the more they will get out of this book. Although it has some awkwardness due to being a translation, it presents an excellent message. ( )