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Revue 3e millénaire N° 102 : Hiver 2011

door Revue 3e millénaire

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> Par 3e millénaire (In: Revue 3e millénaire, 102, Hiver 2011 - Mourir ?, De la vie à l'après-vie)

SOMMAIRE

Thème : Mourir ?, De la vie à l'après-vie

2 — 3e millénaire : Fil d'Ariane vers la mort : une porte sur l'après-vie
Pour le matérialisme qui a réponse à tout : la mort ? Personne n’en est revenu ! Cette affirmation péremptoire ramène l’humain dans sa totalité à sa seule forme corporelle. Et pourtant, que connaissons-nous de notre propre corps ? Quelle expérience consciente en avons-nous, nous qui sommes si souvent oublieux de ses maux ? Les approches méditatives nous ont montré combien nous ignorons le plus souvent l’intelligence du corps, autant que la conscience hors du corps lorsqu’il s’agit d’états de songe, de rêve ou de sommeil profond. Cette ignorance, ou inconscience, est pourtant parfois bouleversée lors d’états modifiés de conscience suite à un accident, à un choc psychologique, ou une ascèse particulière. (...)

8 — Michael Siciliano : Qu'est-ce qui meurt ?
Question - La dernière chose que l'on souhaite en tant que parent est de vivre plus longtemps que son enfant. Toi qui as perdu un fils de façon brutale dans un accident de voiture, comment as-tu vécu un tel événement ?
Michael Siciliano - Tu as dit une chose très intéressante : les parents s’attendent à ce que les enfants vivent plus longtemps qu’eux. Les gens disent “normalement”, mais qu’est-ce qui est normal dans le cours de la vie et de la mort ? (…)

14 — Jean Bouchart d'Orval : Envisager la mort de façon saine
3“ millénaire - Les traditions spirituelles d'Orient et d’Occident proposent des visions différentes et, semble-t-il, irréconciliables de ce qui peut se produire après la mort du corps. L’être humain cherche-t-il à se rassurer en pensant qu ’il aura la possibilité de se réincarner ? Ou qu’il sera sauvé à la fin des temps ? La vrai question pour moi est celle-ci : comment envisager la mort de façon saine ?
Jean Bouchart d'Orval - De toutes les créatures connues, seul l’homme s’inquiète de la mort. Un animal ne pense jamais à cela ; il connaît la peur - la peur animale, l’instinct de survie -, mais il ne pense ni à la mort, ni à la réincarnation, ni à la résurrection, ni à la vie éternelle. Un arbre encore moins. Pourquoi cela ? Parce que de toutes les créatures connues, l’homme est le seul à se fabriquer une représentation de lui-même et à s’y identifier. (…)

16 — Robert Powell : On a peur de la mort parce qu'on ne la comprend pas
Question - Vous avez parlé de l'importance d’affronter la peur de la mort. Que diriez-vous à quelqu’un comme moi qui a une vie heureuse et accomplie et n’est pas encore prêt à renoncer à tout ça ? La peur de la mort n’est-elle pas justifiée dans mon cas ?
Robert Powell - Je dis que la peur de la mort est totalement déplacée même, si nous parlons de vous, selon votre niveau de compréhension actuel. C’est cette peur même qui vous empêche de voir plus loin. En bref, la peur de la mort se manifeste quand l’ancrage de l’être (et non pas l’ego qui apparaît plus tardivement) s’enfonce dans le sol de la matérialité et y reste bloqué. Empêchez d’abord cette peur de naître en ne laissant pas l’être prendre racine à ce niveau. C’est la seule solution radicale, et c’est la voie pour résoudre tous les autres problèmes participant de la conscience. (…)

20 — Michel Fromaget : Les deux morts de l'Ecriture et celle du ver à soie
Pas plus l’enseignement scolaire ou universitaire ne saurait se passer des supports sensoriels où il se donne à voir et entendre, pas plus l’enseignement spirituel ne saurait se passer de mots, notions ou concepts sans lesquels on ne saurait ni y penser, ni en parler. Plus le sens de ces derniers est clair, plus l’enseignement spirituel qu’ils rayonnent est lumineux, plus il porte de fruits désirables. C’est pourquoi je propose qu’à la faveur de ces quelques pages nous réfléchissions à nouveau sur le sens des trois morts que l’on rencontre dans la Bible et en particulier dans le Nouveau-Testament. (…)

26 — Marianne Dubois : La fin de quoi ?
Personne n’est revenu de la mort excepté dans les mythes et les légendes. Dans les cas de NDE il n'est pas possible d’affirmer que la mort a été expérimentée. On peut dire seulement que “l’inconnu” a été approché.
La mort n’est donc qu’une projection, différente pour chacun. Nous pouvons la vivre à chaque instant et mourir au passé continuellement.
Si nous pouvons vraiment mourir d’instant en instant. en y mettant la conscience, la mort définitive sera simplement le prolongement de ces morts successives.
Nous ne pouvons pas enfermer la mort dans des mots ou des explications : nous ne la “connaissons” pas.
Tout ce qui est dit ici n’est donc qu’hypothèse ou parfois pressentiment. (…)

28 — Christophe Yann : Un enseignement peu probable
Faites attention à votre façon de voir le monde. Lorsque l’on ne veut rien comprendre à la vie, elle met tout en œuvre pour nous aider. Pour ma part, cela me conduit aux portes d’une autre compréhension. J’avais imaginé que lors de notre mort c’était normal d’avoir peur, peut-être même souhaitable. Je suis surpris par le calme et la paix en moi et autour de moi. Je n’ai pas peur. Les sons qui me parviennent sont doux. Après quelques années d’une existence vide de sens, je suis mort. J’ai l’intuition d’être au bon endroit. Je me rappelle le bruit strident des pneus sur l’asphalte. Le véhicule de sport qui tire tout droit alors que nous sommes dans un virage, puis le bruit sourd et violent dans le parapet. (…)

32 — Nicole Montineri : Un Océan cosmique
C’est lors de ma rencontre avec ce que l’on nomme la mort que j’ai pu voir ce qu’enseignent tous les sages de l’humanité depuis des temps immémoriaux : derrière les apparences de l’univers se trouve la réalité d’une Conscience unique et éternelle. En proie à une très forte fièvre et à des douleurs insupportables dues à une méningite, j’ai compris que mon corps ne supporterait pas longtemps cette secousse et accepté sans angoisse sa perte. (...)

38 — Marc-Alain Descamps : Qui dit que la mort est une fin ?
Mais qu’est-ce que la mort ? Ce n’est pas un acte instantané, c’est un processus qui prend du temps. Il faut passer de la mort au mourir. Le Dr. Elisabeth Kübler-Ross nous l’a déjà bien expliqué : le Dying remplace Death. La mort n’est pas un acte instantané, ni irrémédiable. On meurt peu à peu et l’on avance selon des étapes bien connues. D’abord vient la mort clinique avec l’impossibilité de communiquer (plus de respiration perceptible, arrêt du pouls, la pupille devient ovale, le regard inexpressif ...). Puis vient la mort encéphalique (l’électroencéphalographe reste plat pendant 30 minutes) ; en France c’est aussi la mort officielle ou administrative qui permet les dons d’organes. Pour cela toutes les autres fonctions (température, cœur et poumons artificiels, alimentation, souvent brutale et traumatique selon les descriptions de la naissance avec violence du Dr. Frédérique Leboyer. (…)

40 — Joaquim : Face à l'inconnu
Pour celui qui ne se sait être que dans la représentation qu’il a de soi, la pensée de sa propre disparition est effrayante, parce qu’elle semble inéluctable. Pour la pensée-moi, la pensée de sa propre disparition est terriblement réelle. Et de fait, elle aura bien lieu. La pensée-moi est condamnée à disparaître. Mais cette disparition-là, ce sera plutôt une délivrance, hors de la prison dans laquelle la pensée retient le moi prisonnier. Elle surviendra à coup sûr au moment de la mort, mais elle peut aussi se produire bien avant la mort. S’éveiller, c’est mourir à ce qu’on prenait pour soi, et qui n’était qu’une image de soi, l’ombre de soi. Une fois qu’on est passé par cette mort-là - qui est une naissance à ce qu’on est vraiment -, on ne saurait plus avoir peur de la mort. On peut avoir peur des circonstances de la mort, des souffrances qui éventuellement l’accompagneront, mais pas de la disparition qu’elle est censée représenter. On sait, comme la chose la plus sûre qui soit, qu’on ne peut pas disparaître. Une telle disparition, ce serait comme la disparition de l’être même. (…)

48 — Betty : J'avais peur de la mort
Ce que j’ai vu est que la mort est reliée à la croyance au temps, et que la mémoire ne peut exister que dans le temps. Le désir d’exister et de perpétuer notre rêve nous fait meubler le temps avec nos souvenirs. Le rêve est peuplé de personnages inventés (Jésus, Bouddha, Dieu, amis, parents, enfants, conjoints... l’humanité au complet !), qui nous servent à réagir en tant que rêveur individuel. Les morts, ainsi que les vivants, sont nos acteurs personnels qui maintiennent en place un scénario fictif : moi et mon histoire personnelle. Nous déplaçons ces pions au gré de nos besoins et de nos désirs, en donnant de multiples explications sur la véracité de cette illusion collective. (…)

52 — Darpan : Aller à la racine de la vie et de la mort
Plutôt que de se rassurer de façon temporaire et superficielle, à travers des réponses toutes faites, il faut avoir le courage d’aller voir et sentir, par soi-même, ce qui se cache derrière la peur, derrière la peine, et derrière toutes les histoires que l’on s’est racontées à propos de la mort. Il faut faire face, sans céder aux automatismes de l’ego, prompts à nous inciter à fuir, à esquiver, à argumenter et à lutter contre toutes menaces intérieures (ou présumées comme telles !) Voilà le défi incontournable de tout aspirant à l’authenticité. (…)

60 — Pierre Dupuis-Boissel : Les raisons du Soi immortel
Qui n’a pas séché devant la page blanche de sa dissertation de philosophie ? Et qui n’a pas cédé à la tentation de l’introduction facile et passe-partout prétendant que le sujet traité était (comme par hasard) l’un des plus importants au monde ? L’un des plus importants ? Quelle coïncidence !
Il arrive toutefois que ce soit vrai. Et en l’occurrence j’avancerai sans hésitation que le sujet dont nous allons traiter est l’un des plus importants qui soient. Car il s’agit de l’après vie terrestre. Autrement dit de ce qui nous attend après la mort. Autrement dit - si l’on y réfléchit bien - de notre avenir. Et qui peut prétendre qu’il est indifférent à son avenir ?
Or il se trouve que par le plus grand des hasards j’ai appris ce qu’il adviendrait de moi après ma mort. Du moins ai-je appris une part de la vérité. A savoir que je survivrais. C’est devenu une certitude plus puissante que celle de la foi que l’on sait sujette aux éclipses (la « nuit obscure » des mystiques), un savoir définitif qui m’accompagne sans faillir tout au long de mon existence.
Cette certitude, qu’on peut qualifier de positive, s’est installée en moi à la faveur d’un épisode, qu’on peut qualifier de négatif, de mon existence. Celui d’un ictus amnésique aigu. (…)

64 — Edouard Salim Michael : Se préparer à mourir
Je suis allé poster une lettre, tout près de chez moi, seulement à quelques pas. Au retour, j’ai été saisi par une extrême faiblesse. Il y a un petit endroit avant d’arriver chez moi où il y a un banc. Alors j’ai décidé de m’asseoir pour reprendre mon souffle avant de rentrer et là, il y a de grands arbres.
Il y avait un petit moineau en train de picorer, de sauter d’un endroit à l’autre. Il avait de si petits yeux par rapport aux miens, et moi, avec mes grands yeux, je ne voyais rien là où il voyait quelque chose à manger. J’étais en train de l’admirer, lorsque, soudain, en un éclair, un grand oiseau a surgi silencieusement, a fondu sur lui, et l’a emporté dans ses griffes. L’instant d’avant, ce moineau ne soupçonnait pas ce qui allait lui arriver et, tout à coup, la mort a foncé sur lui et l’a saisi.
Quelle leçon apprendre de tout cela ?
C’est une drôle de manière de vous accueillir ce matin non ? (…)

72 — Shanti Mayi : Une constante transformation qui jamais ne meurt
Lorsque l’on examine le thème de la mort, il est important de souligner que dans la conscience de la culture occidentale, nos origines humaines nous ont été cachées. Nous ne savons pas d’où nous venons. Nous ne disposons pas de notre histoire, nos racines, nos mythes divins qui narrent les questions mystiques authentiques relatives à l’apparition dans un corps et au départ du plan terrestre. Nous avons totalement perdu ces traditions orales. Les cultures anciennes ont évoqué précisément les allégories détaillées sur l’univers, la terre, les médicaments, les héros, les histoires, les hommes, les femmes, les enfants, les plantations, les récoltes, la nourriture, la mise au monde, la vie, la mort, et au-delà. Cela, nous n’en disposons plus.
Les pages sacrées de nos histoires écrites ont été déchirées et/ou sérieusement modifiées. Nous sommes maintenus en captivité par la peur de notre destin naturel. Vous pouvez penser qu’il existe, en fait, un grand nombre de témoignages religieux élaborant des idéaux de vie et de mort spirituelles. Même si cela est vrai, les innombrables opinions sont si diverses qu’un système de croyance est nécessaire pour pénétrer sur la “voie”. Si souvent, nous croyons au lieu d’expérimenter. Nos croyances créent une rigidité qui nous divise de nous-mêmes et qui divise l’espèce entière. Bien entendu, les histoires qui perdurent parlent d’une chute de la grâce et d'une nécessité d’être sauvé de nous-mêmes. Il s’agit également d’un fardeau incroyablement lourd à porter, si l’on croit qu’il en est ainsi ! (…)

80 — Werner Ablass : La mort sale
Pourquoi est-ce que la mort est une affaire sale ? Te l’aies-tu déjà demandé ? Que ce soit une tumeur maligne ou une mort paisible, cela ne change en rien qu’au bout du compte repose un cadavre qui commence à empester et qui, s’il n’est pas brûlé, mais mis en terre, deviendra un banquet pour les vers et les asticots.
Dernièrement, alors qu’il faisait très chaud, je dus un matin mettre les poubelles sur le trottoir devant la maison. J’ouvris l’une d’entre elles pour mieux fermer le couvercle en appuyant sur son contenu. Oh, mon Dieu ! En premier, la puanteur. En second, les vers. Des centaines qui se tortillaient, une quantité impressionnante de vermine blanche, qui se délectait de ces ordures. Cela me fit penser sur le champ à la mort. Pourquoi est-ce que le corps ne s’évapore pas comme de la brume ? Ce serait une affaire propre. Et de plus si romantique. (…)

Témoin d'éveil :

68 — Pierre-Antoine Dujardin : Un nouveau monde
Le ciel est bleu cet après-midi. Quelques nuages se dessinent. J’entends le bruit de la circulation en bas, dans la rue, le bruit des touches du clavier sur lequel j’écris. Et je ne ressens rien qu’un grand calme, qu’un silence intérieur, imperturbé depuis maintenant plusieurs semaines.
Parfois, mes journées entières sont prises dans la contemplation, le ravissement, je ressens une chaleur qui vient, et revient, chaque objet, chaque mouvement, chaque regard est cause d’une félicité indicible. Je suis ravi, au sens d’emporté, à la fois incroyablement présent et lointain.
Mais cela n’est ni mieux ni moins bien que ce grand silence capable d’accueillir tous les bruits, ce calme capable de recevoir toutes les agitations, ce vide capable de se laisser traverser par les pensées mêmes qui me torturaient auparavant. (…)

Documents :

35 — Ramana Maharshi : Questions sur la réincarnation
Ramana Maharshi est considéré comme l’un des grands maîtres traditionnels de l’école philosophique de l’Advaita (non-dualité) Vedanta. Son enseignement est essentiellement centré sur le Soi et la question « Qui suis-je ? ».
Ces questions/réponses sont extraites d’un livre regroupant des entretiens assemblés par David Godman visant à présenter l’enseignement de Ramana Maharshi (Sois ce que tu es, Jean Maisonneuve, 1988, pp. 243-250). (…)

47 — Sultân Valad : Mort et croissance du grain de blé
Sultân Valad est le fils aîné du célèbre mystique soufi Djalâl-od-Dîn Rûmî. Il lui succéda à la tête de la tarîqa des mawlavîs que son père avait fondée à Konya, en Anatolie. Il en fut le véritable organisateur et contribua à sa diffusion dans toute l’étendue de l’empire. C’est certainement lui qui recueillit les enseignements de Rûmî, consignés dans le Livre du Dedans, publié au nom de son père. Il est l’auteur de quelques ouvrages rédigés en persan.
L’extrait présenté ici est tiré de l'“Anthologie du soufisme” (par Eva de Vitray-Meyerovitch, Islam/Sindbad, 1978). (…)

58 — Angelus Silesius : Les deux morts
Johannes Schefïler, au pseudonyme d’Angelus Silesius, est né en Silésie dans une famille de la noblesse luthérienne. En 1643, à Strasbourg, il apprend la médecine, la politique et l’histoire, puis à Leyde en Hollande, il découvre les oeuvres Jan van Ruysbroeck, Maître Eckhart, Henri Suso, Jean Tauler, Jacob Bohme. A Padoue, il reçoit le titre de Docteur en philosophie et médecine puis devient le médecin officiel du Prince de Ols. En 1649, il fréquente des cercles mystiques ; sa vie intérieure subit de profonds changements et ses lectures le conduisent à se convertir au catholicisme en 1653. Silesius se retire durant trois années dans la solitude et rédige un recueil d’aphorismes et de distiques intitulé “Le Pèlerin Chérubinique”, qui témoigne, dans un style lapidaire, de la profondeur de sa vie spirituelle. Son ouvrage paraît en 1657 alors qu’il est médecin à la Cour Impériale de Ferdinand III. En 1661 il est ordonné prêtre et après la mort de son protecteur, Sebastien von Rostock, se retire dans la maison des Frères Portecroix où il mourra le 9 juillet 1677.
Les distiques, présentés ici, sont extraits du “Pèlerin Chérubinique” (Aubier, 1946). (…)

76 — Jacques de Marquette : L'avenir de l'individualité
Dans un essai consacré à éclairer la question de l’immortalité d’un principe individuel, Jacques de Marquette, docteur en philosophie et spécialiste en son temps de l’étude comparée des mystiques et des grandes traditions spirituelles, évoque sa rencontre décisive avec Ananda K. Coomaraswâmy : « Le “Docteur”, comme l’appelaient ses amis à cause d’un doctorat ès Sciences passé à Oxford, considérait comme fantaisistes les idées courantes sur la réincarnation et publia en juin 1944 dans le bulletin de l'American Oriental Association un article magistral intitulé Le seul et unique Transmigrateur. Il y écrasait sous le poids de sa formidable érudition tous les efforts des réincarnationistes pour étayer l’idée de l’inclusion d’un principe spirituel individualisé et séparé au sein des éphémères entités humaines. Il faisait appel surtout à des textes scripturaux Hindous, Bouddhistes, Musulmans et même Chrétiens. »
Avec une honnêteté cruciale, Jacques de Marquette change radicalement de conception sur « l’immortalité de l’âme », ce qu’il expose dans son livre “De l’âme à l’esprit ou La montée à la vie éternelle’’, dont nous publions ci-dessous quelques extraits. (…)

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  Joop-le-philosophe | Feb 28, 2019 |
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