Bulbul Sharma

For the record, the Ramayana is one of my favorite stories. This version certainly tells that story. And while the narrator of the audio version I listened too was sometimes a little too quiet (when doing the voices of women or the elderly, mostly), it was delightful to hear the story told with an authentic Indian accent.

This telling, though, fell in an awkward kind of middle ground: it was too short to feel truly epic, but too long to be a quick read. I mostly enjoyed it, but there are a lot of great adaptations and translations of the Ramayana out there, and this version didn't out-perform my personal favorites.… (meer)

For the record, the Ramayana is one of my favorite stories. This version certainly tells that story. And while the narrator of the audio version I listened too was sometimes a little too quiet (when doing the voices of women or the elderly, mostly), it was delightful to hear the story told with an authentic Indian accent.

This telling, though, fell in an awkward kind of middle ground: it was too short to feel truly epic, but too long to be a quick read. I mostly enjoyed it, but there are a lot of great adaptations and translations of the Ramayana out there, and this version didn't out-perform my personal favorites.… (meer)

> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Sharma-Mangue-amere/198311

> MANGUE AMÈRE, par Bulbul Sharma - Editions Philippe Picquier, 176 pages 16,50 €. — Le cercle de famille s'agrandit… Toujours attachée à décrire le tempérament énergique et bouillonnant des femmes indiennes, Bulbul Sharma récidive, faisant en quelque sorte reprendre du service à ses « Sacrées Tantes » (parues chez Picquier en 2007).
Elles s'en racontent de belles, en épluchant les légumes !! Que d'histoires à rebondissements, que d'aventures étonnantes, d'anecdotes savoureuses ! La cuisine est, par excellence ; le royaume féminin traditionnel, là où se tissent les événements du quotidien avec les coutumes ancestrales, là où mijotent « les choses de la vie »… —Françoise BLÉVOT
—Infos Yoga, (79), Nov.-Déc. 2010, (p.42)

> MANGUE AMÈRE (Picquier, 7,60 €). Bulbul Sharma livre un savoureux festin d'histoires où la nourriture et celles qui la préparent jouent le premier rôle. Des femmes y marient arômes et épices pour livrer des recettes de vie où s'épanche la brûlante violence des currys, le parfum entêtant d'une rivale et où se distillent les ingrédients doux-amers de la vengeance. —Ouest-France

> RÉSUMÉ. — Voici un savoureux festin d'histoires où la nourriture et celles qui la préparent jouent le premier rôle. Des femmes y marient arômes et épices pour nous livrer tour à tour des recettes de vie où s'épanche la brûlante violence des currys, s'attarde le parfum entêtant d'une rivale ou se distillent les ingrédients doux-amers de la vengeance. Autant de secrets, de souvenirs qui nous plongent au cœur de la famille indienne, d'un monde opulent et magique où les vivants parlementent avec les morts qui viennent habiter leurs rêves, en des anecdotes tour à tour poignantes, drôles, macabres, inoubliables.
Titre original : Eating Women, Telling Tales (2009)… (meer)

J’étais curieuse de découvrir cette autrice indienne dont la renommée n’est plus à faire mais que je n’avais jamais croisée sur ma route de lectrice. Je la découvre avec, je crois, son recueil de nouvelles le plus lu, même si je suis un peu déçue de la nouvelle couverture dont Piquier l’a affublé, j’aimais bien plus le charme suranné de la précédente édition à cette image plus moderne et plus naïve qui ne me semble pas en accord avec le ton du livre.
Un livre original, avec des nouvelles qui forment un tout, comme toutes les facettes forment un diamant. Toutes les nouvelles sont des histoires de femmes (mais cela, c’est toute l’œuvre de Bulbul Sharma), mais surtout des histoires de femmes qui cuisinent (ou qui mangent). La cuisine comme un des aspects primordiaux de la culture indienne, mais aussi comme un important marqueur de la façon dont les activités sont genrées. La cuisine, en tant qu’activité ou lieu de vie, est le domaine des femmes. Chacune tente d’y trouver une relative liberté ou une forme d’oubli.
Les histoires sont souvent lourdes, d’une tristesse ou d’un fatalisme qui collent au palais comme des sucreries indiennes. C’est une Inde où le poids des traditions est encore immense que décrit Bulbul Sharma, une Inde où être femme n’est pas facile, que l’on soit jeune fille, épouse, veuve, divorcée, vieille fille sans perspective de mariage… Si certaines situations sont plus complexes que d’autres, aucune n’est véritablement enviable, et c’est cette absence de porte de sortie qui pèse comme une chape de plomb sur ce recueil.
Les recettes qui ponctuent ces récits gastronomiques, comme l’intitule l’éditeur, font saliver, certes, mais leur richesse en graisse ou en sucre ne peut masquer l’arrière-goût amer des vies étriquées des femmes qui ont dû les cuisiner.… (meer)